Plan détaillé sur la xénogreffe et les pénurie d'organes
Introduction
La xénogreffe comme solution d'avenir
A. Le cadre législatif réglementant la xénogreffe
La xénogreffe ne fait pas office d'une réglementation spécifique car elle est toujours à l'état d'expérimentation mais est toutefois prise en compte par l'article L 1125-2 issu du nouveau code de la Santé Publique provenant de la loi n° 98-535 datant du 1er juillet 1998 concernant les produits destinés à l'Homme.
B. Une technique pour pallier au manque de don d'organes
La pénurie d'organes se faisant de plus en plus ressentir, des solutions peuvent être apportées par la xénotransplantation. La greffe de cellules animales laisse entrevoir de bons résultats en ce qui concerne le traitement de la maladie de Parkinson ou du diabète. Grande avancée : un chercheur japonais a réussi à cultiver des organes en éprouvette sans passer par le clonage.
La xénogreffe : une technique controversée
A. Les réticences soulevées par cette méthode Le rejet inter-espèce est beaucoup violent qu'un rejet intra-espèce ; il est dit rejet « suraigu ». Il y a également un risque de transmission de maladie par le greffon ou d'agent pathogène inconnu d'origine animale. Problème éthique : peut-on associer l'espèce animale à l'espèce humaine ?
B. L'ouverture vers d'autres voies de transplantation
Le clonage, tout comme la xénogreffe, est à l'état d'expérimentation, mais est sérieusement envisagé face à la pénurie d'organes, d'autant plus que le rejet ne serait plus du tout un problème. La création d'organes artificiels à l'aide de matériaux bio-synthétiques semble avoir sa place dans la course pour pallier aux manques d'organes. De nombreux prototypes ont vu le jour.
Conclusion
Bibliographie Revue Pulsation des Hopitaux de Genève (juillet-aout 2008), article « Les organes artificiels en plein essor » écrit par Giuseppe Costa Revue Médecine/Santé (2005), article