Plan détaillé
La souveraineté dans l’état peut être définie, comme un organe indépendant soumis à aucun contrôle de qui que ce soit et, est muni des plus hautes compétences. La souveraineté est alors le principe de l'autorité suprême. Dans le politique, la souveraineté est le droit absolu d'exercer une autorité.
Pour ce qui est de l’unité, c’est l’élément de base d’un ensemble ou d’un système.
Un aperçu historique de la notion de souveraineté depuis Bodin permet de mettre en avant le concept de personnalité de l’État. Avec Kelsen, le concept est dissous et exclu de la problématique juridique. Mais il semble que la souveraineté soit le signe distinctif de l’État qui en assure l’unité.
Dans quelle mesure l’unité de l’état favorise et limite la souveraineté ?
Annonce de plan : (I) unité de l’état favorise la souveraineté. (II) unité de l’état limite la souveraineté
I. Unité de l’état favorise la souveraineté
A) Principe de l’état unitaire qui encourage la souveraineté.
Principe de l’unité
La souveraineté est d'abord régit par un principe d'unité. Même si la souveraineté n'exerce pas lui-même directement, la puissance dont il est le titulaire, tous les pouvoirs exercés dans l'Etat par ses agents officiers ou par les organes de l'Etat le son au nom du souverain qui se trouve ainsi normalement, l'auteur des actes de puissance. En conséquent, il doit exister un certain nombre des procédures qui permettent au souverain de faire entendre à prévaloir sa voix sur celle de ses agents, soit au moyen de la sanction des actes juridiques ou de leur évocation directe devant la compossibilités des gouvernants, du référendum ou du droit du petit dans les systèmes de la