Ponge- l'huitre
Jonathan Nins
Explication de Texte
Ponge
L’huitre était écrit en 1942 par Francis Ponge. Il s’agit de la description d’une particulière huitre ; Ponge décrive le monde de l’huître. L’observation d’une huitre devient obscure, et peut-être il faut passer aux sémiotiques pour mieux le comprendre, pourtant la rigueur de Ponge entraine un épuisement des caractéristiques.
Le poème commence par son titre. Ponge expose que c’est une huitre donc qu’il va écrire. Ponge fait le sujet de son poème très évident ; il expose toute suite l’image de l’huitre. Sa donne une clarté et formalité qui rend le poème facile à lire et activer nos imaginations. Il ne s’agit ni de quelque mystère du sujet, ni d’une allégorie, mais plutôt la découverte de quelque chose déjà connu.
Dans le premier paragraphe il y a quatre phrases, le premier étant descriptive de l’apparence l’huitre. La première phrase a quatre clauses et pas de conjonction, mais juste séparés par des virgules. Ici, l’huitre est en comparaison en taille avec un galet moyen. Le style de Ponge s’affiche tout de suite dans « grosseur d’un galet. » On va apercevoir les répétitions des mots, lettres, et suffixes, ainsi que des allitérations dans le poème. On voit la répétition de « s’y » trois fois dans la derniers deux phrases du premier paragraphe. Les adjectives que utilise Ponge dans la première phrase sont rugueuse et blanchâtre, qui se trouve dans la première allitération « brillamment blanchâtre. ». Le suffixe « âtre » va réapparaitre trois fois encore dans le poème. Puis Ponge passe au monde de l’huitre. Il commence la transition avec le mot « c’est », qui lit comme une révélation étant dans la phrase la plus courte. Cette phrase se termine stylistiquement avec un type d’allitération où le « o » commence un mot, et termine la prochaine (opiniâtrement clos). La prochaine transition est articulée par le mot « pourtant. » Là, on apprend que le monde de l’huitre peut ouvrir. Ponge liste les