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Pour ou contre l'euthanasie? fiche d'aide pour dissertation

355 mots 2 pages
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L'euthanasie : le pour et lecontre

POUR | CONTRE | Perte de la qualité de vie | Comment évaluer la qualité de vie? | La personne malade souffre | Où est la limite de la souffrance? | L'homme est propriétaire de son corps | Certains médecins pensent qu'il faut simplement améliorer les soins palliatifs et non donner la mort, grâce à ces soins l'euthanasi est inutile | L'euthanasie redonne une dignité humaine aux souffrants, c'est un droit que de mourir dans la dignité | Il faut attendre le terme naturel de sa vie | La personne malade se sent inutile et pense être un fardeau | D'après la religion, la vie est un don et l'homme n'a pas de droit sur sa vie, il doit mourir à l'heure fixée par la nature | Les machines font souffrir plus longtemps le malade | L'euthanasie est un mal dont il faut limiter le rôle dans le processus de la mort | L'euthanasie est un acte réfléchis décidé avec des médecins | Le malade peut-il vraiment prendre la décision d'euthanasie alors qu'il est mourant? | L'eutthanasie permet de ne pas rendre le geste comme illégal | L'euthanasie n'est-elle pas une pratique de cas par cas? Comment choisir pour quelqu'un d'inconcsient | L'euthanasie est un geste qui apparait que lorsque le malade est souffrant permettant d'adoucir ses derniers instants | L'euthanasie peut-être reconnue comme une solution “facile” | Pour avoir doir à l'euthanasie il faut que la souffrance du malade soit intolérable et irréductible | Il existe une possibilité de désescalade thérapeutique | Il faut attendre la phase terminale de la vie, mais comment l'évaluer? | Les médecins on des crraintes face aux lois déontologiques | Le souffrant doit avoir le droit de l'autonomie face à la souffrance et à la mort | Pour avoir droit à l'euthanasie rien n'indique qu'il faut être dans un stade terminal | L'euthanasie est permise sous certaines conditions

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    Propositions de thème pour l’Inattendu : 1- La prison : Aborder la thématique de l’enfermement carcéral et de l’enfermement de la maladie, réfléchir sur l’accompagnement dans le non-jugement, le regard de l’autre et l’exclusion de l’emprisonné… 2- La loi Léonetti : Jean Léonetti, médecin cardiologue et homme politique membre du Parti radical (parti dit de centre-droit rattaché au groupe UMP au sein de l’échiquier politique, et dont le président actuel est Jean-Louis Borloo), fut mandaté en 2003 dans le cadre de l’affaire Vincent Humbert, par le président Chirac et le gouvernement Raffarin, à réfléchir sur les questions éthiques de l’accompagnement en fin de vie. En 2004, Jean Léonetti préside une mission parlementaire sur l’accompagnement de la fin de vie, qui a conduit à l’adoption le 22 avril 2005 de la « Loi relative….

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  • L'euthanasie et la législation (ecjs)
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    * sentiment d'inutilité sociale. * Vision de la liberté de l'Homme : * l'Homme est seul titulaire des droits associé à son corps, seul maître de sa vie ; c'est l'application de la liberté individuelle. * liberté de choix du malade, qui sait mieux que quiconque ce qu'il désire. Contre la légalisation de l'euthanasie : * Raisons d'ordre moral : * Incompatibilité avec une certaine vision de la pratique des personnels soignants, telle qu'elle apparaît dans les différentes versions du serment d'Hippocrate.….

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  • plaidoirie sur la question de l'euthanasie
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    Si j'évoque ces noms, c'est qu'ils ont malheureusement un point commun qui est le combat pour l'euthanasie. Ils ont été victime de notre système législatif et ils ont dû luter contre la maladie, la souffrance ou la paralysie et contre la loi, notre loi qui condamne l'euthanasie. Ces personnes savaient qu'elles étaient condamnées, mais elles avaient encore de l’espoir, et se sont battues pour être entendues mais notre législation les a tout simplement abandonnées, les laissant seules face à leur destin.….

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  • Ecjs: acharnement thérapeutique
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    Face aux coûts de ces soins et parfois la douleur qu'ils engendrent, aussi bien sur le plan physique chez le patient, que moral pour les proches pour le maintien de la vie, se pose la question de l'euthanasie. Ces « solutions » comportent néanmoins des limites souvent de l'ordre éthique : est-ce humain de laisser mourir quelqu'un à petit feu qui devient limite « drogué » sous l'effet de la morphine, mais à la fois n'est-ce pas un crime que t'aider quelqu'un à mourir ? Aujourd'hui, on se pose aussi ces questions dans la cadre de personnes tombées dans le coma depuis des années ou de gens ayant perdu parfois la mobilité de tout leur corps et font comprendre à leurs proches qu'ils souhaitent mourir.….

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  • Légalisation de l'euthanasie
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    Mais au-delà de ce sens étymologique, il faut distinguer plusieurs types d’euthanasie dont la différence première tient à la volonté du malade : dans certains cas, il n’est plus conscient et la décision de sa mort revient au corps médical et à sa famille, dans d’autres, il est conscient et demande lui même la mort, sachant que sa maladie est incurable ou n’ayant plus le goût de vivre à cause d’un lourd handicape. Cette gradation de l’euthanasie ne résout pas entièrement les problèmes de définition qu’elle pose, en effet, où commence l’euthanasie et où s’arrête l’acharnement thérapeutique ? Un médecin doit-il tout faire pour prolonger la vie d’un patient incurable dans la mesure où son code de déontologie lui donne le devoir de faire tout son possible tant que ce malade n’est pas décédé, ou bien au contraire, doit-on considérer qu’un mourant, puisqu’il est condamné quoi qu’il arrive, a….

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    La mort médicalement provoquée est interdite, l’euthanasie active est réfutée (texte 2), l’être humain ne peut pas disposer de son corps comme il l’entend (texte 6), pourtant il est important d’entendre et de prendre en compte une demande d’euthanasie qui dénote un état de souffrances (texte 4). En France, le choix de notre société a été de ne pas autoriser l’euthanasie active (texte 1), c’est une décision collective (texte 6). En effet, les lois sont discutées et votées au sein du parlement, par le biais de nos élus.….

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    Éthique et responsabilités L'euthanasie Introduction La question de l'euthanasie est sans doute l'une des plus complexes qui soit, faisant intervenir le domaine du privé, ainsi que des problèmes à la fois éthiques et humains. En effet, jusqu'à aujourd'hui, aucune loi concrète sur celle-ci n'a été votée. Ce sujet nous amène à nous demander : "Dans quelles mesures l'euthanasie peut-elle être acceptée dans notre société ?" I - Qu'est-ce que l'euthanasie ? a) Histoire et définition Le mot "euthanasie" vient du grec "eu" (bonne) et "thanatos" (mort), qui signifie donc "bonne mort" ou "mort sans souffrance".….

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    l'assistance au suicide désigne un processus "où l'acte létal est accompli par la personne malade elle-même", souligne le rapport Sicard, cité par La Croix. Concrètement, il s'agit pour le médecin de fournir au patient les substances létales qui l'aideraient à abréger ses souffrances, mais en le laissant effectuer le geste final. (http://www.francetvinfo.fr/societe/euthanasie/qu-est-ce-que-l-euthanasie-suicide-assiste-laisser-mourir_189145.html) * Les soins palliatifs sont des soins délivrés à une personne atteinte d'une maladie grave en phase terminale.….

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    Problématique Qu'est ce que l'euthanasie ? Où et comment se place -t-elle dans notre société ? I) Euthanasie Étymologiquement, «euthanos» signifie la «bonne mort». Au sens moderne du terme, l'euthanasie est une pratique visant à provoquer ou hâter la mort pour abréger des souffrances morales et/ou physiques intolérables, plus particulièrement par un médecin ou sous son contrôle. Il existe différents types d'euthanasie : L'euthanasie active suppose le geste d'un tiers qui administre à un malade une substance létale dans le but de provoquer la mort immédiatement.….

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  • Ecjs
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    •Le plus souvent la souffrance du patient se confond avec celle de son entourage, il peut d'ailleurs prendre la décision de l'euthanasié pour ne pas voir un proche dans cette état plutôt que de connaître la volonté du patient. → Le malade a le sentiment d'être inutile à la société et d'être un fardeau pour son entourage •Une partie des médecins considèrent que les progrès de la médecine en matière d'anti douleurs et de soins tranquillisants rendent l'euthanasie inutile → Oui mais l'euthanasie est finalement plus naturelle que le maintien artificiel en vie à l'aide de tuyaux et de substances chimiques •Beaucoup de personnes peuvent que l'euthanasie est considéré comme un meurtre, un suicide ou même un empoissonnement vers quelqu'un. → Non ça permet juste de mourir en dignité •Elle pourrait permettre de faire subir au patient une pression morale de la part des proches, et permettre a des héritiers d’accéléré un héritage. → Non elle permet plutôt d'éviter la dégradation de l'individu, la perte des capacités physiques ou mentales qui détruisent l'image d'une personne auprès de ses proches ou d'elle même….

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    Dans quelques pays européens, elle a déjà été acceptée telle que la Belgique, la Suisse, les Pays-Bas et le Luxembourg. Dans les autres, cette pratique est toujours interdite. Elle est source de nombreux débats religieux et culturels. L'euthanasie en quelques mots selon le dictionnaire Dixel, c'est « l'usage de procédés qui permettent de hâter ou de provoquer la mort de malades incurables qui souffrent et souhaitent mourir ».….

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    | Contre Argument 1 : La dignité humaine est quelque chose de complexe à définir, selon l’Eglise la dignité humaine c’est de servir Dieu jusqu’à la fin de sa vie est donc de mourir naturellement, quand Dieu le décide. Mais selon d’autres personnes (notamment les pro-euthanasies), la dignité humaine est celle de mourir de façon digne c'est-à-dire quand le malade qui souffre trop et qui par exemple ne peut plus marcher, parler, réfléchir le décide car il veut abréger ses souffrances. | Argument 2 :Accéder à la demande d’un patient demandant de mourir c’est répondre au problème sans réfléchir. En effet un accompagnement à la mort est plus justifié, le patient continue à s’alimenter mais sans avoir recours à quelconques soins,….

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