L’homme moderne ou plutôt l’homme avide de renouveau, lui, n’accepte pas le changement. De nouvelles pensées arborent notre planète elles voient les jours et renaissent comme le printemps pour s’enraciner dans nos mœurs. La première est celle de la survie avérée de notre peuple qui est entre les mains de tous, voilà l’observation que je fais de ce monde. L’émergence d’un nouveau système de vie devrait nous aider à surmonter certains désagréments qui nous menacent. Ils nomment cela l’écologie, identifiée comme le sauveur de notre temps. L’homme a toujours trouvé confortable de discerner des coupables en situations de crise .L’écologie, va par définition, à l’encontre de l’utilisation de la mécanique et de produits chimiques qui pourraient altérer notre planète. Néanmoins j’y vois dans ce système un réel paradoxe, la faim dans le monde, qui ne pourrait être résolu [de façon non absolue bien entendu] que par l’accroissement de denrée alimentaire par le biais de nouvelles techniques qui ne plairont pas aux « écologistes ». Toutes nos certitudes, car l’homme se trompe rarement, sont basées sur des démentis, comme la lutte contre l’obésité et la lutte contre la famine, Absurde que dis-je c’est insensé ! Ainsi , pour préserver notre chère planète nous devons , comme l’affirme certains , réduire [ la liste est éperdument longue] notre consommation d’eau , d’électricité , de nourriture etc. De façon identique notre société qui milite contre « la vie chère « nous présente des produits miracles dit « bios» qui sont assez onéreux , malgré cela ils sont adulés comme le remède à tout nos soucis . Cette soif de l’inédit , de l’authentique , qui se retrouve chez l’homme après même avoir tout inventé et tout réinventé « C'est une lâcheté que d'applaudir à toutes les idioties que l'on nous montre sous prétexte de modernité. » ces mot de Francis Picabia sont plus que jamais d’actualité à l’heure où devrait faire une halte et revoir ses fondamentaux