CHAPITRE 1 : L’INFLUENCE SOCIAL
Montaigne (1830) les essais :
« Nous ne flottons entre divers avis, nous ne voulons rien librement, rien absolument, rien constamment ».

I – La conformisation, l’effet Asch (1951) 30/40% Expérience princeps (1ere fois qu’elle a été faite) : Asch réunit des étudiants de sexe masculin. Ces étudiants Asch leur dit vous allez participer à une recherche portant sur la perception visuelle et pour se faire, ils présentaient des planches d’assez grand format. Il y a une ligne étalon, et 3 autres lignes de différentes tailles mais il y en a tjrs une de même taille que l’étalon. Il présente 18 planches et fait un QCM. Et au bout du 7eme il est influencé par les 6 premiers. Asch note juste les réponses. Le premier qui a donné la première réponse est un complice de Asch il a fait exprès de dire la mauvaise réponse : il est compère. Tous sont des compères, il y a que le 7ème qui est le sujet naïf. Il est avant dernier car ça lui laisse un espoir que le dernier confirme son point de vue. C’est donc un effet de groupe, une certaine influence. Sur 18 fois il y a 6 cas qui donnent la bonne réponse.
Sur 123 Sujets naïfs 29 donnent que des réponses justes, 39 donnent une réponse fausse de plus de la moitié des items critiques. Pourcentage d’erreur :36.8 .
Groupe contrôle ≠ groupe expérimentale

Phrases dites par des naïfs :
« Cela ne ressemble à aucune des expériences que j’ai eu dans ma vie je ne l’oublierai jamais… » : Expérience relativement traumatisante. »
« Je ne voulais pas être séparé du groupe, je ne voulais pas voir l’air d’un fou » : Exemple type de conformisme ne veut pas être détaché du groupe
« Ils étaient si affirmatifs…durant un essai j’ai senti qu’il se trompait probablement mais je n’étais pas complètement sur » : un groupe complet ne peut pas se tromper
« Je n’ai jamais donné de réponse en sachant qu’elles n’étaient pas jute » : stade ultime rationalisation ou après cou on se forme une vision d’une réalité passée,