La tradition de la pensée sociologique :La question d’intégration est posée depuis l’émergence de la modernité et à l’origine du projet sociologique.La société moderne remet en question la légétimité de la tradition en particulier la religion mais en même temps la dynamique démocratique rend illégitime toute forme d’exclusion ou de discriminationce qui amène a dire que le projet de la modernité démocratique est d’intégrer tous les individus dans la société nationale en tant que citoyens libres et égaux mais comment restaurer les liens sociaux alors que la tradition et la religion ne relient plus les hommes.D’après Comte, il y a phénomène de société seulement si les membres partagent les mêmes croyans , pour lui c’est avec la science qu’il faut le prouver. Weber quant à lui observe que les intérets unissaient moins les hommes que les passions communes se demandait comment maintenir la foi et la liberté de l’homme qui permet à l’échange.
De la différenciation à la complémentarité Durkheim a posé le problème de l’intégration des sociétés modernes c'est-à-dire la citoyenneté commune definie par l’égalité des droits civils, juridique et politique ne suffisent pas pour assurer le lien social. La solidarité abstraite né de la citoyenneté doit aussi être fondé sur les échanges entre individus. Pour comprendre la socité moderne il faut s’intéroger sur relations qui s’établissent entre les hommes et sur les manieres dont ils peuvrent former une société
Intégration mécanique et organisation organique : Durkheim constatait que la cohérence de la société n’est plus assuré par la similitude des hommes alors que groupes sociaux se multiplient et deviennent de plus en plus étranger les uns aux autres tout en se hierarchisant.Il faut retrouver l’unité cohérente de la collectivité non plus par l’uniformité d’homme interchangeablemais par la complementarité des fonctions qu’ils exercent c'est-à-dire les individus collaborent comme le font les divers organes du corps humain, alors