Le poème « Que vois-tu, toi qui me soignes, que vois-tu ? Quand tu me regardes, que penses-tu » à été retrouvé dans les affaires d’une femme âgée irlandaise après sa mort. Il est extrait de « l’infirmière enseignante » paru en Mai 1984 (magazine n°5). Et le deuxième texte est un extrait du livre autobiographique écrit par Jean Dominique BAUDY dont le titre est « Le scaphandre et le papillon » (page 22). Il est publié en 1997. Il à écrit se livre grâce au seul moyen de communication qu’il avait : le clignement d’un œil.
C’est deux textes écrient par deux personne totalement dépendantes racontent leurs pensées pendant un moment de la journée dans un institut de soins. Ils parlent de leurs ressentit et de leurs émotions qui sont caché par la vieillesse ou la maladie. Ils explicitent leurs révoltes face aux soins et aux soignants, on aperçoit même une certaine colère. L’accompagnement des soignants est difficile face à des personnes n’ayant presque plus de moyen de communication avec le monde extérieur. La dignité de ces personnes est touchée. Ils se sentent totalement dépendant et n’ont plus aucun contrôle de leur vie et c’est grâce aux soignants et aux accompagnants qu’ils réalisent les gestes de la vie quotidienne.

Ces deux textes font intervenir des notions communes.

Tout d’abord la notion dépendance est relativement présente dans ces textes. Dans le premier texte, la vieille dame âgée est dépendante dans les gestes de la vie quotidienne « Qui docile ou non, te laisse faire à ta guise, Le bain et les repas pour occuper la longue, journée grise ». Jean Dominique est devenu totalement dépendant après son attaque cérébrale, à travers le texte ont arrive à voir qu’il ne peut pas ce laver ou manger seul « déjà on me ramène tout grelottant vers ma chambre sur un lève-malade confortable comme une planche de fakir ».
Ces deux personnes sont dépendantes car l’aide d’autrui leur est nécessaire pour pouvoir vivre. Cependant leur dépendance est liée à une incapacité