Question transversale sarah kayne
Les textes du Corpus appartiennent tous à l'objet d'étude « argumenter convaincre, persuader ». Le texte 1 extrait de Psychose, ouvrage de Sarah KAYNE publié en 2000. Le texte 2 est un extrait du roman Madame Bovary, de Gustave FLAUBERT publié en 1857. Nous pourrions nous demander quels sont les points communs des ces deux textes ainsi que les variations qu'ils présentent. Pour répondre à la question, nous verrons dans un premier temps leurs points communs, puis un fait révélateur de notre société et enfin leurs divergences.
Tout d'abord, nous pouvons voir que les personnages dont nous allons parler sont des femmes et dénoncent toutes un même malaise ou un mal étre qui empiéte sur leur vie. Pour souligner ce malaise et le dénoncer nous retrouverons dans ces deux textes le champs lexical de la révolte. En effet, dans le texte de Sarah KAYNE nous relevons les termes « mes hanches sont trop forte », « je ne veux pas mourir je ne veux pas vivre», cela suggére l'intensité d'une douleur venu de la société, une douleur intense d'une vie sans espoir mais en contradiction avec la peur de la mort. Dans le texte de Gustave FLAUBERT, madame BOVARY dans le terme « C'est bien peu de chose la mort » signifie qu'elle n'a plus d'espoir.
Ensuite, nous allons démontrer que ces faits sont révélateur de notre société. Dans Psychose Gisèle HALIMI dénonce l'état lamentable du XX eme siècle. Comme avec la pression de la médecine lorsqu'elle dit « Dr Ci, Dr ca, Dr c'est quoi », elle dénonce la mécanisation de la société et l'hallucination du monde. Ou lorsqu'elle dit « la honte la honte la honte, noies toi dans ta putin de honte, » ici la présence d'une anaphore qui accentue, insiste sur le mot la honte et le viol de la langue permet de répondre à la violence subit au viol de l'intégrité. Et dans Madame BOVARY, l'envi de mourir