Révision des théories morales
Il croit que le principe universel est toujours vrai. Selon lui, “Le bonheur visé doit contribuer “au plus grand bonheur pour le plus grand nombre.”” Il utilise sept critères pour évaluer la situation: durée, intensité, certitude, proximité, fécondité, pureté et étendu. Pour calculer les conséquences, on doit d’abord lister toutes les conséquences possibles. Deuxièmement, on passe à travers les 7 critères en attribuant un pointage à chaque conséquence : +1 aux conséquences positives et -1 aux conséquences négatives. Si la somme est positive, on passe à l’action. Il croit aussi que chaque individu est doté de bonté et passe par les quatre sanctions : naturellement, réprobation des autres, lois et religion. MillMill est un utilitariste qui poursuit dans la pensée de Bentham, mais simplifie un peu la méthode. Il met moins d’importance sur le calcul des conséquences. Il ne le fait seulement que dans les cas extrêmes …afficher plus de contenu…
La responsabilité pour Jonas est une notion extrêmement importante. La responsabilité de l’individu nous est permise grâce à notre imagination. C’est le fait de pouvoir comprendre ce qui peut nous arriver dans le futur. Elle nous ouvre les yeux vers l’environnement. Elle peut aussi regrouper une forme d’obligation envers les autres. Ne pas vouloir le mal de ceux nous avons la charge (les plus démunis). La responsabilité pour Jonas est tournée vers l’avenir. De plus, Jonas croit que la peur agit comme contrepoids à notre pouvoir technique excessif. Il faut avoir peur pour éviter des catastrophes. C’est le principe de prudence. Ensuite, il faut avoir peur pour éviter des catastrophes. C’est le principe de prudence. On ne doit pas voire la peur comme un frein à notre vie, c’est un type d’intuition sur l’avenir. On fait appel à l’imagination et à notre sensibilité plutôt qu’à notre force et notre puissance de tout vouloir. C’est