Introduction
A travers ce stage, je voulais tout d’abord « voir du pays », rencontrer une culture différente, et aussi avoir l’occasion de pratiquer l’anglais au quotidien. Les pays anglo-saxons n’étant pas assez dépaysants à mon goût, la Norvège s’est rapidement imposée à moi. En effet, l’anglais y est couramment parlé, et sans être trop loin de France, ce pays est totalement exotique, ne serait-ce que par ses nuits ensoleillées.
Après avoir choisi le lieu de mon stage, il me restait à trouver le stage à proprement parler. Pour cela, je suis passée par l’intermédiaire de mes professeurs, leur demandant de me mettre en relation avec leurs contacts Norvégiens. C’est ainsi que je me suis retrouvée au
SINTEF (grand laboratoire de recherche appliquée) à Trondheim.
Ensuite est venu le temps des préparatifs.
1. Avant le départ
1.1 Formalités
Tout d’abord du point de vue santé, il faut se procurer le formulaire E128 auprès de la
Sécurité Sociale (LMDE ou SMERRA). Normalement, la mutuelle, si elle différente de la
Sécurité Sociale, doit vous couvrir. Une fois la convention de stage signée, la CPAM vous fournira une attestation de couverture des accidents du travail par le biais de l’université. Il faut aussi se munir d’une attestation de responsabilité civile. Un conseil, apportez votre propre pharmacie, les médecins sont débordés, et peu enclins à donner des médicaments autres que l’aspirine. Pour les résidents de la CEE, il n’est pas nécessaire de se procurer un visa. Par contre, même si le passeport n’est plus obligatoire pour se rendre en Norvège, il est fortement conseillé (très souvent demandé).
1.2 Logement
Pour trouver un logement sur place, il faut contacter la section internationale de l’université d’accueil, même si le stage n’a pas lieu dans un labo universitaire. Elle vous aiguillera vers le bureau des résidences pour étudiants. En tous cas, occupez-vous-en, ne laissez pas votre tuteur s’en charger pour vous, cela vous évitera le