Les impacts positifs economiques
Tout d’abord, la première initiative des entreprises est d’ouvrir des groupes Facebook dédiés à l’emploi. Ainsi, les entreprisses peuvent se servir de Facebook comme un réseau social de recrutement. Les recruteurs y voient un véritable vivier d’étudiants et de jeunes diplômés. Ils y sont d’ailleurs faciles à contacter, étant souvent membres de groupes Facebook créés par leur entreprise, ou par leur ancienne école, comme HEC, science po, école Centrale, etc...
D’autres entreprises se servent de Facebook pour permettre la mise en disposition de CV en ligne . Selon une étude du cabinet américain ExecutNet, cette année, 83 % des recruteurs l’ont utilisé pour en savoir plus sur un candidat potentiel . Leur part était de 75% en 2005 . Puis, 43% d’entre eux ont rejeté une candidature d’après les informations découvertes sur Internet, contre seulement 26% en 2005.
D’autre part, Facebook lance des opérations commerciales. Comme en début 2010, où la banque en ligne de Monabanq à proposer une offre innovante : Décrocher un taux d’intérêt brut de 6% sur un livret d’épargne pour quelques mois. Plus les souscripteurs seront nombreux, plus le taux grimpera. Le client ne sait donc pas précisément ce qu’il achète. Concrètement, tous se verront garantir au moins 4,5%, et plus l’offre attirera de monde, plus le taux se rapprochera des 6%. L’objectif sera atteint si l’offre rassemble 2000 nouveaux clients avants sa clôture. Ensuite, Facebook facilite les entreprises dans leur démarche. En effet, depuis 2009, il commercialise des publicités ciblées en fonction des profils créés par les utilisateurs eux-mêmes ou par les entreprises. Ainsi en moins d’un an, le site est déjà devenu le premier support publicitaire en ligne de France. Facebook est dans le top 10 des principaux sites de supports display en France, c’est à dire un support de mise en valeur des différents produits proposés . Il est en tête du classement avec, en septembre 2009 , 10,3% de