Relation sociale
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Analyse du Cadre institutionnel et pratique concretes dans les « relations sociales » en entreprises : qu’Est-ce que l’informel ? Constitution d’une grille d’observations Introduction
Les interactions formelles et informelles du domaine des relations sociales sont le plus souvent étudiées sous une forme descriptive, ce qui crée des contradictions sur le plan des résultats et des préconisations de la gestion ainsi que des modalités théoriques et catégories de pensée. Les relations sociales ne sont que très peu prises en compte dans les prescriptions de la gestion en management alors qu’elle pourrait permettre la maitrise des changements rapide dans les systèmes de productions et les relations de travaille.
Dominique BESSON dans lors du XIIe congrès de l’AGRH intitulé « le travail au cœur de la GRH » a voulu faire un rapprochement entre deux méthodes afin de produire une grille d’observation des relations sociales dans leurs dimensions formelles et informelles sur les deux approches variées qui sont celle de Katz, Kochan et McKerzie (KKM) et celle de DiMaggio et Powell. L’approche systémique des relations sociales fournis par KKM (1994) propose une analyse en trois niveaux : les niveaux stratégique, fonctionnel et du lieu de travail. L’identification de ces variables à observé et de leur relation permet de construire une grille d’observation. Cette grille est actuellement en utilisation dans plusieurs cas d’entreprise et doit être amélioré.
analyse La modernisation est aujourd’hui amenée par le « haut » de l’échelle hiérarchique. Les démarches d’évolution ou d’amélioration au sein d’une entreprise touche forcement les employés, il est donc nécessaire de passé par les instances formelles existant dans ces organisations (représentants du personnel, élus en comité d’entreprise, délégués syndicaux, …). Cette modernisation est de deux formes : conflictuelle ou consensuelle. Dans l’exemple « Inventis » présente dans ce texte, le model conflictuelle se fait