Revue de littérature

En 2003, Cairney, Boyle, Offord & Racine ont pu affirmer que les mères vivant seules sont plus nombreuses à souffrir de maladie physique et psychiatrique que les mères vivant avec leur compagnon. En effet, c'est grâce à leur étude qui examinait les effets du stress et de l'aide sociale de leurs relations entre les parents vivant seuls et la dépression qu'ils ont pu attester ceci. Cependant, il semble plausible d'estimer les taux de dépression d'une mère vivant seule par rapport aux circonstances de sa vie. Les facteurs identifiés incluent le stress, pouvant provenir d'une enfance abusée et d'autres proches d'une enfance traumatisée, des tensions chroniques pouvant être associées à la pauvreté ou à de récents événements étant négatifs.
Mais c'est le fonctionnement général d'une famille, plutôt que l'état psychologique de la mère, qui a un profond impact sur l'état de l'enfant.

Comme le rapportent Huntley & Phelps (1990), 76 enfants vivant avec un seul de leurs parents sont sujets des symptômes de dépression. En effet, il y a des gros risques de dépression chez les enfants qui connaissent les perturbations d'un divorce dans leur famille car un enfant des plus communs risque d'en subir une si l'on ne fait pas attention à lui dans cette épreuve. De plus, ils affirment qu'il y a une pauvre culture dans le réseau social de l'enfant (en général) et particulièrement après un divorce parental ou une séparation. D'après Weltner (1982), les enfants qui viennent d'une famille monoparentale font l'objet d'une plus grande isolation sociale que les enfants appartenant à une famille nucléaire, dite «normale». Cependant, la corrélation entre l'issue de la catégorie sociale de l'enfant et de ses relations à la dépression est un domaine très largement inexploré. Les résultats de l'expérience de Huntley et Phelps (1990) ont montré que l'âge et le genre de l'enfant ont un impact sur les scores de l'Inventaire de la Dépression de l'Enfant (en