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Plusieurs concepts seront tour à tour exposés dans le cadre de ce travail, et en voici un aperçu.
Dans le premier chapitre, qui traite de l’analyse sociologique de l’innovation, on présentera d’abord le concept de sociologie. Puis, comme la sociologie s’intéresse particulièrement à l’action sociale, ce concept sera défini, sous l’angle de deux conceptualisations (système culturel et système social). Le concept de pouvoir est rattaché au système social. Par la suite, nous verrons ce que signifie la construction sociale, en tant que sens donné à l’action.
L’innovation peut être étudiée selon deux perspectives, qui seront ensuite successivement présentées puis comparées, soit la perspective rationnelle et la vision institutionnelle. Seront ensuite comparées les études déterministes et sociotechniques (qui inclura une définition de l’articulation du travail, soit l’accommodation vis-à-vis la négociation).
En conclusion, nous résumerons en trois grandes propositions l’analyse sociologique de l’innovation.
Dans le second chapitre, on verra tour à tour les caractéristiques des grandes théories économiques pour expliquer l’innovation. Ainsi, nous commencerons avec les théories orthodoxes (ou néoclassiques), puis nous verrons les théories postkeynésiennes, schumpetérienne, pour arriver à la vision de Veblen et ensuite celle des évolutionnistes. Finalement, l’auteure nous présente son propre modèle, soit le modèle multidimensionnel, qui sera résumé.
Par la suite, deux documents audiovisuels seront résumés selon leurs apports respectifs par rapport à l’étude de l’innovation. Pour ce qui est du premier document, on verra le côté essentiel, nécessaire de l’innovation, on se posera la question à savoir si l’innovation détruit ou crée de l’emploi, et finalement on verra s’il est préférable d’apprendre l’informatique à des boulangers, ou la boulangerie à des informaticiens.
Pour ce qui est du second document audiovisuel, on verra des avantages potentiels