Rogers

Environnement politique :

L’environnement politique de Rogers n’est pas énorme… Au Canada, peu de lois régissent les compagnies de télécommunication. Cependant puisque le cellulaire est de plus en plus important dans la vie des canadiens certaines lois sont entré en vigueur c’est dernières années. Malheureusement pour Rogers, c’est lois ne sont pas nécessairement en sa faveur. Par exemple, dorénavant le distributeur téléphonique ne peut plus changer le contrat durant son exercice, le client peu maintenant garder son ancien numéro de cellulaire lorsqu’il change de compagnie et plusieurs autres petites règles. Ces lois sont rentrées en vigueur grâce aux multiples batailles de l’Office de la Protection du Consommateur. Une autre loi, qui affecte Rogers c’est la loi qui est passée dans quelques provinces, dont le Québec et l’Ontario, qui interdit le conducteur d’un véhicule de parler avec son cellulaire dans les mains. Ceci n’a pas pénalisé Rogers mais lui a permis de faire quelques nouvelles ventes en proposant des appareilles munis de l’application bluetooth, ainsi la compagnie a dû s’adapter à cette loi. Un élément qui rend Rogers soumis au gouvernement est sans aucun doute le fait que c’est le gouvernement fédéral Canadien qui s’occupe de la vente de spectres de fréquences sans-fils. Ainsi Rogers se voit pris avec la concurrence et doit faire son possible pour acheter le plus de spectres possible, ainsi il doit faire beaucoup de lobby auprès du gouvernement.

Environnement économique :
Puisque la popularité des cellulaires ne cesse pas d’accroître, l’achat de cellulaires est rendu essentiel à la vie de la population. De plus, la compagnie Rogers offre des forfaits très avantageux. Par exemple, des appels gratuits avec un nombre limité de contacts. De plus, si toute la famille est avec la même compagnie, celle-ci peut profiter d’offres avantageuses. Rogers fait une grande marge de profit avec les contrats de compagnie parce que ceux-ci leur procure