Romanesque
Après la Révolution, dans les années 1800, la littérature française est bouleversée alors qu’elle rompt toute les attaches qu’elle avait avec le passé. Les écrivains sont libérés du contrôle de la société, la tutelle des règles et de la tyrannie exercées par le goût étroit d’une élite. Les français sont aussi victimes d’un nouveau pouvoir, celui de la presse. Celle-ci permet d’approvisionner aux lecteurs inexpérimentés une opinon déjà toute faite du monde qui les entoure. C’est à partir de là que l’on voit le champ littéraire s’élargir démesurément, on peut alors débattre librement et sans censure sur plusieurs nouveaux sujets comme la politique, la religion, la société qui auparavant se faisaient étouffer. Cette période est appelée le préromantisme et dure une vingtaine d’années avec à sa tête de grands personnages dont Chateaubriand.
A partir des années 1820 commence le mouvement romantique qui durera une trentaine d’année.
Ce mouvement ne peut exister sans l’époque classique, car elle a pour but de défier toutes les règles de son antécédent. Alors que les classicistes basent toutes ces œuvres sur la réflexion, la quête d’idée et tout ce qui peut provenir de l’esprit, le romantisme lui, fait l’inverse.
L'expression de la souffrance de l'auteur est un des themes les plus présents dans la poesie romantique. Le poete romantique en effet souffre beaucoup.
Tout d'abord, le poete ressent parfois de la solitude. Il se sent seul, sans personne pour l'aider, comme Lamartine dans "Le lac" qui exprime ses faits et gestes : "Je viens seul m'asseoir sur cette pierre". Ou alors meme accompagné d'une muse, souffrant d'un mal, le poete se sent seul; "chere solitude" est l'appel que fait Alfred de Musset dans "Nuit d'octobre", maudissant celle qui l'a blessé.
Enfin,le poete a peur qu'on l'oublie,