Résumé l'ethique ou la vie
Mais, la médecine est également constituée par une partie opératoire qui, par la connaissance et la maîtrise qu’elle oblige, en font une science, voire un art.
Purement éthique donc.
D’ailleurs, lorsque la médecine n’était pas encore efficace, le médecin lui faisait preuve de courage se dévouant, malgré les conditions, à toutes ses tâches. Et même si ses actes ne laissaient que soulager les patients, l’éthique, restait le maître mot.
Aujourd’hui, les médecins ont la capacité. Mais bien loin de constituer une addition de formes éthiques, celle-ci semble avoir disparu. En effet, les médecins d’hôpitaux ne sont pas dans une optique de création de liens sociaux, leur amabilité devenant secondaire.
Cela s’explique en partie par le comportement des patients qui se plaignent de leur maladie auprès du médecin.
Mais le manque d’éthique de la médecine ne vient pas uniquement de cette marginale.
En effet, le progrès semble source de désharmonisation, puisque la médecine cherche sans cesse à se développer n’ayant, comme la maladie, aucune limite.
Même si cela semble être en adéquation avec la volonté du patient, l’expérience prouve le contraire. La médecine joue avec le corps humain.
Ainsi, la médecine semble avoir dépassé toute frontière, transformant alors selon sa volonté l’homme que l’on ne reconnaît plus. L’éthique ne semble plus être à l’ordre du