said education
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Index du cours : IA711 N° de série :
Observations particulières
Montaigne (1533-1599)
Sur le plan étymologique l'éducation est définie comme l'action de « guider hors de », c'est-à-dire déployer, créer, générer. La signification la plus usuelle et la plus courante est l'apprentissage et le développement des facultés physiques, psychiques et intellectuelles d’un individu. Elle inclut des compétences et des percepts culturels et sociaux caractérisant le lieu géographique et la période historique. Ainsi Chaque pays dispose de son propre système éducatif ; un tel système n’est point figé. Si il est accepté traditionnellement par une grande partie de la population ; il est en effet rejeter par une partie importante de cette population. Aussi l’éducation a connu une évolution très dynamique sur les plans méthodologie, locaux, temps d’apprentissage et outils d’apprentissage. L’ardoise, le cahier et le livre étaient considérés comme instruments principaux de toute éducation, les nouvelles technologies ont contribué à rendre ces instruments caducs dans plusieurs pays du globe c’est dans ce courant que Montaigne a qualifié l’éducation livresque de fâcheuse.
Nous allons essayer d’examiner les différentes sortes d’éducations pour aboutir aux différents questionnements posés sur les outils utilisés et leurs limites Si on considère que l’éducation concerne le fait de s’instruire et acquérir des savoirs ; tels que les savoirs être et les savoirs faire ; elle vise notamment le développement des capacités morales et intellectuelles des individus du fait que l’être humain éduqué devient un élément garant de la société où il vit, il défendrait ses intérêts son territoire, peut être son système politique et pourquoi pas sa religion. Ainsi l’éducation est devenue une affaire des Etats. Les religieux puis les politiciens l’ont accaparé depuis