Saint amant
Pour composer cette évocation pleine de fantaisie proche de la parodie Saint Amant décrit le paresseux puis les plaisirs de l’oisiveté enfin l’insouciance du paresseux. Il ose écrire « un hymne » à la paresse, comme si la paresse, un des péchés capitaux était un sujet glorieux, noble.
Tout d’abord, Saint Amant fait une description imagée avec un lyrisme burlesque du paresseux qui est « accablé de paresse » sur son lit. (vers 1) : l’association de ces deux mots est surprenante et