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Chapitre 3 : L’entretien de l’aumônier et d’Orou
1.
Dialogue philosophique
Nous observer deux voix : Celle de l’aumônier et celle d’Orou. L’aumônier représente la religion qui cherche à christianiser une population païenne.
Les habitants d’Haïti adorent les idoles (Tikis) idolâtrie. C’est aussi l’église qui s’était aussi chargé de l’éducation.
Orou s’apprête à appliquer l’hospitalité des Tahitiens. Il aura pour rôle d’interroger l’aumônier sur la religion et les principes européens à propos des femmes.
C’est une liberté de mœurs confrontées aux conventions sociales.
Orou est choqué par l’abstinence et le célibat des prêtres catholiques. D’ailleurs, Diderot était aussi choqué par cette question. Il estimait que c’était ridicule et contre-nature.
2.
B va nous évoquer l’histoire de Polly Baker (digression). C’est une troisième voix qui apparaît. L’entretien s’interrompt et nous passons de Tahiti aux Etats-Unis. Polly Baker va apparaître comme une victime des lois. Cette femme va utiliser la plaidoirie pour se défendre.
Que dénonce Polly Baker de la situation des femmes de l’époque ?
Quels sont les moyens qu’elles utilisent ?
Quelle est la fonction de cette digression dans le texte ?
Cet est un discours direct de la jeune femme. C’est une plaidoirie s’adressant directement aux juges. Il est ponctué par des interpellations aux juges qui sont des hommes.
Ilya a un double rapport de supériorité (condition plus élevée + hommes).
Elle exprime son avis sur une loi ridicule. La loi est très dure pour les femmes qui ont des enfants hors mariages. Elle suit les étapes de la plaidoirie.
Intro : exorde/requête/rappel des faits/situation personnelle pour dénoncer la loi
Défense : innocence/elle a rendu service/ elle a été une bonne mère (gradation, énumération/Question de rhétorique/Registre pathétique et polémique/Elle rappelle qu’elle n’est pas à l’origine de sa condition/Elle représente comme victime des hommes/Attaque ad hominem/Rappel de la