Le système scolaire français joue un rôle important dans l’intégration social comme dans la mobilité sociale.Celui-ci peut être définis en tant que changement de statut sociale pour un individu. Grâce à ce système scolaire méritocratique,tous les individus peuvent gravir les échelons de la sociétés en fonction de ces efforts pour acquérir des diplômes.Mais l'ecole est-elle vraiment source de mobilité sociale ?De par cette question, nous amorcerons le sujet par le rôle de l'école dans la mobilité sociale puis en second, les limites du rôle de l’école.

Favorise la reproduction sociale .
A partir de 1960,on assiste à la démocratisation de l'école qui est ouvert là l'ensemble des enfants quelle que soit leur origine sociale et pouvant aller jusqu'au étude supérieur.

L'institution scolaire est précisément censée détecter les plus méritants.
Cependant selon Bourdieu, l'école n'est que lieu grandissant des inégalités. En effet les inégalités de départ se creusent de plus en plus. Ceci est dû à l'habitus qui se compose de 3 capitaux : le capital économique, le capital social et le capital culturel socialisation qui est un processus d'intériorisation et d'apprentissage des normes et des valeurs qui va orienter le comportement des individus, va aussi déterminer l'habitus.
Le capital économique est celui des parents la plupart du temps pendant la période de scolarité, alors les étudiants ne peuvent que faire ce qui est dans le possible des parents.
Le capital social et l'ensemble des relations.

Parce que les parents diplômés saisissent mieux l’enjeu de la poursuite d’études sur la destinée probable de leurs enfants, ils les pousseraient à aller le plus loin possible dans le cursus scolaire.
C’est la thèse de R. Boudon qui insiste sur les choix rationnels des individus fondés sur la comparaison des coûts / bénéfices de la poursuite d’études, l’objectif inconscient des acteurs étant l’ascension sociale : si les enfants d’ouvrier s’arrêtent plus tôt,