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zfffffdlvjrigjrvndfhjrrrrrrrLa violence contre les mineurs a entraîné la création de la Convention des droits de l'enfant en 1991.
Une centaine de pays ont signés et reconnu son existence dont la France
Certains ont signé mais pas reconnu la Convention (comme l'Italie, l'Allemagne...) voir ne l'avoir ni reconnu ni signé comme l'Arabie Saoudite ou les Etats-Unis.

Parce qu'en temps que citoyen, nous avons le devoir de dénoncer la maltraitance : Les mineurs sont plus vulnérables et décident souvent de garder le silence contre ces infractions, deux textes incriminent donc la non-dénonciation d'infraction commise sur un mineur :

1)La non-dénonciation de crime.
Elle incrimine le fait que quiconque « ayant connaissance d'un crime dont il est dont il est encore possible de prévenir ou de limiter les effets, ou dont les auteurs sont susceptibles de commettre de nouveaux crimes qui pourraient être empêchés, de ne pas en informer les autorités judiciaires ou administratives ».
La non-dénonciation peut ne pas être punies dans le cas d'exceptions de l'immunité familiale :
L'immunité familiale concerne les membres de la famille direct (parents, frères, cousins...) de l'auteur ou complice du crime. Cette exception n'est applicable que lorsque la victime a moins de quinze ans.
La non-dénonciation n'est pas punie non plus dans le cas du secret professionnel :
Les personnes tenues au secret professionnel sont écartées du domaine de l'infraction a par certaines exceptions comme les médecins, professionnels de la santé et de l'action sociale et ceux qui informent les autorités judiciaires, médicales ou administratives.

2)La non-dénonciation de maltraitance sur mineur.
A la différence de la non-dénonciation du crime, l'immunité familiale n'est pas excusée contrairement au secret professionnel.
Cette infraction vient compléter celle de non-dénonciation du crime dans la mesure ou la protection est plus étendue (la loi sera appliquée si l'infraction commise est un

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