Durant mon cursus d’étude en soins infirmiers, j’ai était confronter à l’accompagnement du patient. Mais ce qui m’a beaucoup interpeller c’est la place que tient l’accompagnement des familles par le personnel soignant, surtout lorsque le patient est dans des services où la durée de séjour est assez longue voir définitive (services de long séjour, soins palliatifs,…)

Au décours de l’un des mes stages de début de 3 eme année, où j’ai passé 4 semaines dans un service de long séjour fermée prenant en charge des patients atteint de démence liée à la sénescence (diagnostiquer ou non Alzheimer), j’ai été confronté a plusieurs reprises a des interrogations des familles de patient prit en charge. Mais une situation le plus interpellé.

On avait dans le service un patient de 72 ans veuf, qui était entré dans le service, depuis plus de 6 mois, pour un maintient a domicile difficile, car il présenté des états confusionnels et une incapacité a réalisé des gestes de la vie courante seul (cuisine, courses,….). Ce patient avait gardé une certaine autonomie pour la réalisation de ses soins d’hygiènes et de confort, toutefois il lui fallait une stimulation pour la réalisation de ceux –ci, des difficultés à la marche, ainsi qu’une désorientation temporale liée a une démence non diagnostiquer, ce qui engendrait chez ce patient une agitation nocturne et donc une hypersomnie la diurne. De ce fait il restait toute au moins toute la matinée au fauteuil en pyjama refusant l’aide à la réalisation de sa toilette.
La famille a engagé une auxiliaire de vie qui venait toute les après midi ce qui donnai au patient un repère temporel, elle lui apporter aussi des fruits des jus d’orange….. Celle-ci avait d’ailleurs dit au service que si monsieur ne voulait pas réaliser ses soins d’hygiènes le matin celle-ci essaierait de les réaliseraient l’après midi, et qu’elle était payait pour s’occuper de patient et donc de réalisé sa toilette était dans ses missions.
Lors du tour de