Sociologie

Sociologie de l’apprentissage :
1) La motivation : on ne peut pas parler de motivation au singulier, il y a 2 grands types de motivations chez les élèves :
Motivation extrinsèque : travailler pour la note, motivation extérieure à la tâche, sourire du maître (retour de l’enseignant). La démotivation des élèves est très répandue mais cela est dû au système et de ses représentants. Prend le risque de les faire travailler que pour la note ou la reconnaissance.
Motivation intrinsèque : peu répandue.
Il y a de nombreux élèves de catégories populaire et surtout les filles qui ont peu de motivation intrinsèque. C’est cette dernière qui fait la meilleure réussite et pourtant c’est la moins représentées.
On peut développer cette motivation intrinsèque mais on ne le fait pas. il y a deux indicateurs de cette motivation :
L’estime de soi : l’élève doit en avoir une suffisante pour s’intéresser à l’apprentissage.
Niveau de l’estime de soi : évaluer où en sont les élèves et les valoriser (ceux qui en ont le moins sont les enfants des catégories populaire et les filles).
Le sentiment d’auto-détermination dans le travail : l’élève doit avoir le sentiment de contrôler son travail, de pouvoir faire des choses par lui-même. Leur permettre d’être moins sous le contrôle de l’enseignant.

2) La communication pédagogique :
Pour bien communiquer, idée qu’il faudrait simplifier les choses = communication non pédagogique et pourtant courante.
Coulon : Wittgenstein « il n’y a pas de règle au repos » pour que la règle est du sens il faut la mettre en pratique sinon elle n’a pas de sens.
Le premier degré répond à W : la co-construction des règles de vie de classe (enseignant + élèves). Ainsi la communication pédagogique sera audible : le maître se soumet lui aussi aux règles.
Ex en mathématiques : confusion volontaire dans les consignes (situation pb) GAD et la douche ! Éviter de réussir sans rien comprendre. Faire vivre les consignes des exercices et des savoirs