Socrate. A la recherche de la justice
PROLOGUE
(I-II, 368)
A la recherche de la justice avec Céphalos, Polémarque et Thrasymasque.
327-331
L'occasion était unique. Socrate est donc venu assister à une première religieuse et culturelle : les Thraces introduisent au
Pirée, le port d'Athènes, une fête en l'honneur de la déesse,
Artémis pour les Grecs, Bendis pour ces Barbares.
Ce préambule n'est pas d'un pittoresque gratuit. Socrate a deux intentions, prier et voir la fête, ce qui correspond à deux ordres, la réalité invisible et le spectacle du monde dans la vérité et l'apparence. Ce sont les deux pôles entre lesquels la chose politique ce doit d'évoluer au cours du dialogue.
Apres la fête, Socrate ce rend chez Polémarque ou il rencontre
Céphalos (le père de Polémarque) qu'il n'avais pas vue depuis longue dates. Ils abordent tout deux avec passion une longue discussion qui aura pour thème la vieillesse.
Céphalos fait savoir à Socrate qu'il regrette de ne plus pouvoir ce déplacé du à son vieille âge, mais qu'il sens de plus en plus la nécessite de discution surtout avec Socrate.
Quand il dit "au fur et à mesure que les plaisirs du corps ce fanent, je sens grandir d'autant les envies de discussions et les plaisir que j'y ai" il exprime le besoin de nourrir son esprit maintenant qu'il ne peu plus compter sur son corps.
Socrate lui atteste qu'il aime discuter avec les vieilles gens car elles sont pour lui sources d'expérience et de savoir "Elles ont pris de l'avance sur une route ou nous aurons sans doute à marcher".
Socrate lui pause une séries de questions pour comprendre cet âge que les poètes nomment le seuil de la vieillesse.
Peu t'on alors comparer un vrai homme a un grand vin qu'il faudrait laisser reposer des années afin qu'il atteigne son apogé?
La vieillesse entraine pour beaucoup des grandes et longues lamentation, car après avoir pris gout durant de longues années à croquer dans la vie, ils doivent désormais ce restreindre et emprunter une