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Première partie : le risque sismique
I) Les cartes de risque sismique.
Malgré de nombreuses tentatives, les scientifiques ne sont pas encore capables de prédire la date précise d’un séisme. En revanche, à partir de l’établissement de cartes du risque sismique, il est possible de limiter les conséquences graves d’un séisme. Une carte de risque sismique est une carte sur laquelle sont indiquées les régions les plus dangereuses d’un point de vue sismique (voir carte ci-contre), c’est-à-dire les régions dans lesquelles se produisent le plus de séismes.
La sismicité est mesurée à l’aide des sismomètres. Un enregistrement régulier et sur une longue période des séismes permet de repérer les zones qui n’ont pas été le siège de séismes depuis longtemps et ainsi de les surveiller plus particulièrement.
1. Expliquez comment on établit une carte de risque sismique.
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II) Les mesures de prévention.
Une fois que les cartes sont établies, on sait dans quelles régions le risque sismique est le plus important. Il est alors possible de prendre des mesures de prévention : construire selon des normes parasismiques, informer la population sur les consignes de sécurité, réaliser des exercices de simulation « grandeur nature » d’un séisme, fournir une préparation et du matériel spécifique aux équipes de secours sont autant de pratiques permettant de limiter les pertes humaines et matérielles.
Des techniques de constructions parasismiques.
2. A votre avis, pourquoi ces mesures de prévention ne sont-elles pas généralisées sur le territoire