Suite fictive d'une fable de la fontaine
Après ce moment la Brebis s’élança et dit : « La loi du plus fort, qu’il s’appelle « Lion » ou qu’il soit vaillant ne lui donne en aucun droit la possibilité d’écorcher ce cerf que toi, Chèvre, tu as capturé dans tes lacs. Etant donné que tu es celle qui le captura, tu devrais être la seule et unique personne à décider quoi en faire. Il est vrai qu’il mérite une plus grosse part que les nôtres car nous n’avons point un gros appétit de plus qu’il nous protège. »
Ce que venait de dire Brebis ne laisse pas Chèvre indifférente : « Que voulais-tu faire Brebis ? nous sommes trop faibles pour tenter de nous révolter, bien que tu ais raison, il nous aurait étranglées ! »
C’est à ce moment que la Génisse cria, ce qui provoqua un énorme sursaut chez ses deux amis : « J’ai une brillante idée les amis ! »
Quelques heures plus tard, Lion fût réveillé par une conversation assez bruyante dans la forêt, il ne se gêna pas pour l’écouter. « Cette part m’appartient car je suis une génisse de premier ordre ! » cria Génisse
« Celle-ci est mienne car je suis la plus forte de toutes les chèvres ! » cria Chèvre
« Je suis la plus vaillante d’entre nous, la troisième part me revient de droit et vous le savez !! » Brebis ne pût s’empêcher de crier plus fort que ses deux amis, ce qui énerva Lion, il était sur le point de bondir prés des trois petits quand soudain, une louve et ses louveteaux arrivèrent. La louve demanda –à voix basse– à nous trois petits si son repas était servi, d’un signe de la tête elles dirent que