Supplément de voyage de bougainville commentaire
Tout d’abord, le vieillard décrit le peuple Tahitien comme un peuple qui vit d’un bonheur simple. Dés le début, le locuteur affirme que son peuple est heureux avec la phrase « Nous sommes innocents, nous sommes heureux. » (l. 3). Le parallélisme de construction présent dans cette phrase sert à montrer l’égale importance attachée à ces deux caractéristiques. La philosophie de ce peuple est simple : être heureux. A travers ce texte, nous découvrons que leur bonheur n’est trouvé que dans ce qui est absolument nécessaire. « Tout ce qui est nécessaire et bon, nous le possédons. » (l. 28). Les Tahitiens n’utilisent que le strict minimum pour survivre, et, selon eux, cela est suffisant pour vivre une vie facile et être heureux. Le vieillard fait aussi un éloge du repos dans son discours. « Rien ne nous paraît préférable au repos » (l. 39). Le mot « rien » met une grande emphase sur l’importance qu’attache les Tahitiens au repos. « Laisse nous reposer » (l. 39). L’impératif