Séparation des pouvoirs
En effet, notre pays est l’exemple de la séparation des pouvoirs, c’est un principe devenu clés, la répartition des différentes fonctions de notre gouvernement. Pour être plus précis, le pouvoir exécutif et le pouvoir législatif doivent être effectivement séparé de façon à ce que le gouvernement composer d’un premier ministre et de ses ministres auquel on trouve le chef de l’état a la tête. Puis d’un parlement avec l’assemblée nationale et le sénat puissent exercer leur compétence dans les limites imposées. Pour être sénateur, il faut avoir plus de trente ans, être citoyen français, jouir de l’ensemble de ses droits civiques et politiques. Les élections ont lieu tous les trois ans fin septembre par un collège électoral lui-même désigné pendant la même période. Depuis 2003, dans les départements élisant au moins quatre sénateurs, le scrutin a lieu à la représentation proportionnelle. Chaque liste doit être composée alternativement d’un homme et d’une femme.
L’extrait qu’il convient d’analyser est de Vincent Boyer, « Le Sénat, contre-pouvoir au bloc majoritaire ? », Revue française de droit constitutionnel. Suite à cet extrait il faut savoir, est ce que la réforme des élections législatives au Sénat est t’elle réellement possible ? Dans une première partie, Le sénat un bloc aux élections confuses face à l’assemblée nationale (I) avec une élection non uniforme au sein d’un suffrage unviersel indirect (A), Une uniformité des élections à l’échelle nationale : Petits courants politique en émergence (B)
Puis dans une seconde partie, une reforme des compétences du sénat (II), A’ Une seconde chambre aux styles philosophiques : Chambre d’opinion, B’ L’assemblée nationale face a une nouvelle chambre : le