Théorie des parties prenantes
En outre, selon cette théorie les performances des entreprises ne doivent plus être mesurées seulement par rapport aux critères économiques, mais aussi prendre en compte les indicateurs sociaux et environnementaux. Le capitalisme et l’éthique peuvent et doivent être compatibles. Les dirigeants ne pensant plus seulement aux profits des actionnaires auraient pu mener une stratégie plus efficace en étant plus libres et créer de la valeur à long terme.
Dans le cadre de ce contexte s’est développée la responsabilité sociale d’entreprise (RSE) dans les années 1990. Ce concept intègre non seulement les préoccupations des détenteurs du pouvoir, mais de l’ensemble des parties prenantes, des contre-pouvoirs concernés par la politique de l’entreprise. C'est-à-dire les intérêts financiers, mais aussi bien les sociales et les environnementales.
Parallèlement à cette théorisation les nombreuses parties prenantes se sont mobilisées sur le terrain afin de parler, de faire prendre en compte leurs intérêts spécifiques et s’organiser en contre-pouvoirs. Notamment, on a beaucoup entendu parler d’eux suite