Thèmes de l'apologie de socrate
Mendel et l'hérédité particulaire A. Monohybridisme
Lors d'une expérience de monohybridisme, il n'y a pas eu de fusion des facteurs chez les hybrides, les deux facteurs associés chez l'hybride F1 coexistent et restent distincts.
Mendel introduit donc la notion d'hérédité particulaire.
B. Le dihybridisme
Lors d'une expérience de dihybridisme, il retrouve dans tous les cas l'uniformité des hybrides en F1 et en F2 (quatre phénotypes qui montrent que lorsqu'un hybride F1 fabrique ses gamètes il y a ségrégation indépendante de ces couples de caractères qui explique la production par les hybrides F1 de quatre type de gamètes en quantités égale)
D'après cette expérience on peut alors déduire que le patrimoine héréditaire d'un organisme est fait de caractères indépendants.
Suite à ces travaux, Mendel énonce trois lois : la loi d'uniformité des hybrides de première génération la loi de disjonction indépendante des facteurs ou loi de pureté des gamètes la loi de ségrégation indépendante des couples de caractères
Des lois énoncées de Mendel et de ses travaux, il en ressortira la théorie chromosomique de l'hérédité qui dit que les chromosomes sont le support de l'hérédité.
Les travaux de Morgan
Morgan bénéficie notamment de l'avènement de la microscopie, du concept de gène et de la connaissance des chromosomes (par Sutton et Boveri au début du 20ème siècle) pour redémontrer et compléter les connaissance de la génétique.
A. La théorie chromosomique de l'hérédité et Morgan
Il observe qu'il y a hérédité lié au sexe lorsque le gène étudié est situé sur les chromosomes X ou Y et qu'alors les individus de F1 dépendent du sens du croisement. Cet interprétation des cas d'hérédité lié au sexe lui a permis d'associer un gène à un chromosome précis.
B. Gènes liés/gènes indépendants
Au cours d'expérience de dihybridisme, Morgan observe que les allèles de deux gènes