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Suivant l'origine du greffon on parle de prélèvement autologue (fait sur le receveur lui-même) ou de prélèvement hétérologue (fait sur une autre personne que le receveur).
Elle doit être distinguée des transplantations comprenant d'autres tissus comme la transplantation de visage : la présence de tissu sous-cutané, de vaisseaux et de muscle nécessite alors la recherche d'une compatibilité entre donneur et receveur et la mise en route d'un traitement anti-rejet à vie avec les risques et les contraintes que cela incombe.
Sommaire
1 Les différents types de greffe 1.1 Greffes en filets autologues 1.2 Greffes en filets allogéniques 1.3 Xénogreffes 1.4 Greffes de feuillets épidermiques autologues 2 Histoire 3 Voir aussi 4 Sources 5 Liens externes 6 Références
Les différents types de greffe
Prélèvement d'un greffon cutané sur la cuisse
Greffon mis en place sur une cheville
Greffes en filets autologues
Les tissus utilisés proviennent du patient lui-même. Ce sont des morceaux de peau restés intacts chez le patient qui sont utilisés afin de soigner les zones endommagées. La greffe en filet consiste en un cisaillement en quinconce de l’échantillon de peau afin d’obtenir une sorte de filet/résille. Cela permet d’augmenter la surface couverte par l’échantillon de peau de 1.5 à 6 fois, en fonction de la découpe réalisée.
Le principal avantage de ce type de greffe est de permettre de réaliser une greffe permanente sans risque de rejet puisque c’est la propre peau du patient qui est greffée. Malgré tout, cette technique peut parfois être limitée par le manque de sites donneurs face aux sites endommagés, le patient n'ayant pas de zone de peau suffisamment saine permettant le prélèvement.
Greffes en