Tous les matins du monde – Pascal Quignard: Il est courant d’avoir une œuvre cinématographique et Romanesque . Kafka est traduit par orson well mais Kafka ne connaît pas orson. L’œuvre que nous avons au programme est très différents, c’est une création a trois romanesque. Il y a l’écrivain qui écrit le roman (Quinard). Il écrit sur un musicien dont la musique est redécouverte, rejouée par un artiste qui s’appel Jordi Savall, et il va donner la musique du film. Le réalisateur Alain Cornean s’inspire du roman, le revient devient en quelque sorte le script du film tout en restant le roman. Il y a un démarcage du film par rapport au roman. Il y a une interaction créatrice (musicien, cinéaste, écrivain) contemporaine autour de ce thème. Le référent c’est sainte-colombe, un musicien peu connu du 17e siècle, qui avait un disciple qui s’appelait Marin Marais. Sainte Colombe jouait de la viole. Sa présence est attestée, ce sont des personnages qui ont vraiment existes. De sorte que le roman peu être aussi considère comme un roman historique. La période historique c’est le baroque. Le roman et le film mettent en scène la période baroque en France (qui n’a presque pas existée en France). En effet, la personnalité de Louis 14 a imposer le classicisme a la France, et a imposer/comprimer le baroque a l’époque. Le baroque était en Italie. La France est un ilot classique au cœur d’un monde baroque (l’Europe). Normalement l’histoire officielle parle du classicisme et peu du baroque, pourtant il a existé en France. Au fond, cette œuvre présente un art rebelle par rapport au pouvoir. Le rapport à la peinture est très fort, donc l’interrogation ne porte pas seulement sur la musique, mais aussi l’art en général. Pascal Quignard était fascine par les peintures de George De La Tour. ET Alain Corneau (cinéaste) a transposé la technique de De La Tour dans le film. De La Tour est un peintre de la fin du 16e siècle qui a régénéré les études du clair obscure,