La femme objet, ou autrement dit, la femme soumise, a commencé à faire son apparition entre les années 1950 et 1960. Il est vrai que beaucoup de publicités sexistes ont été publiées dans les médias à cette époque, mais celles qui concernent ce stéréotype sont sûrement celles qui nous ont le plus interloquées.
Plus tard, dans les années 1990, le sexisme revient, mais sous une autre forme. En effet, celui-ci est influencé par la tendance de l’époque, ce qu’on appelle le “porno-chic”. Une chose est sûre : Le sexe attire l’attention, ce qui ne peut être que bénéfique pour la notoriété d’une marque. Toutes les excuses sont bonnes pour montrer une femme plus ou moins nue, que le produit soit un gel douche, ou alors un parfum. 
Pour cette catégorie, nous avons relevé une publicité. Il s’agit d’une affiche pour le parfum Opium de Yves Saint Laurent.
Pour finir, nous avons noté que, ces dernières années, deux types de publicités sexistes se détachent. 

Premièrement, les publicités dites trash, ou plus simplement, très explicites... 
Ce type de publicités concernent principalement celles de nos jours. 
Montrer une femme nue ne suffit désormais plus. Il faut aller plus loin : simuler l’acte sexuel, choquer le public pour faire parler de soi. Ce qu’on appelle le “buzz”, c’est-à-dire le succès, sera d’autant plus important si la publicité est retirée, comme le font certains grands couturiers. 
Les clichés sont, de nos jours, présents dans le luxe, accompagnés de beaucoup, voire trop, de provocation, et surtout de sexe. 
Ici, nous pouvons citer un grand nombre de publicités. Nous avons relevé celles qui nous ont le plus marqué.
Il y a également les publicités humoristiques qui, de nos jours, font un certain effet. 
L’humour possède de multiples atouts, comme celui de créer une relation de complicité avec le spectateur pour lui faire passer toutes sortes de messages, des plus simples au plus sensibles, de manière distrayante et agréable. 
L’humour qui est utilisé dans les