Travail sur le suicide =)
I Enracinement et questionnement existentiel/introduction
Est-ce que la vie est mieux après le suicide ?
Comment peut on être sur de vouloir mourir alors qu’on ne sait rien de ce qu’il y a après la mort ? Comment peut-on se plonger dans l’inconnu en pensant qu’il est mieux ?
II apports culturels. A. Eclairage linguistique
Le suicide c’est l’action de se donner volontairement la mort. Il résulte directement ou indirectement d’un acte positif ou négatif accompli par la victime elle-même.
Durkheim, le fondateur de l’école française de sociologie établi 2 catégories de suicide : le suicide altruiste (il procède d’une intégration sociale forte au point de méconnaitre l’individualité.
Ex l militaire qui se donne la mort a l’issue d’une bataille perdue.
Le suicide égoïste : provient d’un manque de liens sociaux. Être constamment seul, peut avoir pour effet un repli de l’individu sur lui-même, incapable parfois de trouver des motifs d’existence.
Ex : un jeune rejeté par les autres car il n’est pas à leur « mode ».
Durkheim constate que le taux de suicide est plus élevé chez les personnes célibataires que les veufs. Il conclu donc que le mariage préserve du suicide puisque la famille c’est l’intégration dans un groupe.
Il dit aussi que cela peut provenir aussi des changements de la société, pendant les périodes de crise, les fortes croissances économiques… car tout ce changement engendre une instabilité sociale.
Le taux de suicide est, selon les tranches d’âgé, 3 fois moins élevé chez les femmes. Il connait également des évolutions selon les périodes de l’année, en hiver et en été les suicide sont plutôt rare tandis qu’ils progressent fortement au printemps B. Eclairage scientifique et médical
Prendre des organes, étude sur le cerveau. C. Eclairage législatif
Le code civil ne mentionne pas le suicide, « l’individu ne peut entre en rapport avec lui-même ». Le code se préoccupe des conséquences de la mort et non des circonstances. La