Un écrivain peut-il par ses oeuvres contribuer à l'améioration de la société
I) Un événement tragique :
Le texte commence par la description de cet événement tragique : « ô malheureux mortels » Cet interjection lyrique « ô » exprime la soufrance « déplorable/effroyable » termes hyperboliques accentués par les rimes riches. Voltaire contemple le désastre dans une méditation très sombre, « d’inutiles douleurs éternels entretiens » montre bien la position de V. qui refuse les justification théologique du mal. Mais cette déploration s’accompagne d’une dénonciation de l’absence d’esprit critique de certains philosophe : « Philosophes trompés qui criez « Tout est bien » » il veut combattre les thèses de l’optimisme dans la catastrophe de Lisbonne. Interpellation abrupte ( l’attaque consiste à réduire à une simple formule ridicule ces thèses : « tout est bien » qu’il va opposer au désastre par une violente anti-thèse. Vision de la destruction : champs lexicaux de la destruction : « marbre rompu », gradation : « débris lambeau cendres », métonymie : marbre/richesse. Vision terrible des corps qui sonr déchirés, enterrés sous les toits qui devaient les protéger. Les participe présent : « expirante, fumante » actualise le drame.
Femmes, enfants ( symbole de l’innocence, de la vie, de l’espoir ( injustice totale.
Registre pathétique : les victimes dévorées par la terre ( vision d’horreur. C’est car le philosophe nous émeut qu’il va être capable de nous atteindre…
II) Une attaque philosophique :
Il appelle les philosophes a reconsidérer leurs thèses au spectacle du drame : « Au spectacle […] direz-vous : « C’est l’effet des éternelles lois qui d’un dieu libre nécessite le choix ? » En utilisant le discours direct il montre leurs thèses erronées pour mieux les combattre v15-16-18
Thèse optimiste, thèse chrétienne…
V. va répondre à ces thèses qu’il rejette au moyen de question rhétoriques pr amener le lecteur à réfléchir. V23 il rejette le groupe nominale à la fin du ver