[…] Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit ? Ces doux êtres pensifs que la fièvre maigrit ?Ces filles de huit ans qu'on voit cheminer seules ?Vers 1 à 3 VH s’adresse et interpelle directement le lecteur à l’aide de 3 questions rhétoriques et 3 PSR qui ont pour antécédents « ou vont tous ces enfants ». A l’aide d’une Anaphore de « Ces », qui est un déterminant démonstratif, on sent qu’il pointe du doigt les victimes. Ils s'en vont travailler quinze heures sous des meules Dans le vers 4 , on a les réponses aux questions rhétoriques. C’est là qu’on comprend qu’Hugo va rentrer dans le vif du sujet, et il commence à dénoncer les infâmes atrocités que les enfants subissent. Ils vont, de l'aube …afficher plus de contenu…

Tout est d'airain, tout est de fer.« Ils travaillent « est en rejetJamais on ne s'arrête et jamais on ne joue.Au vers 11 Hugo emploi le GN : « Jamais on se s’arrête « qui renforce la comparaison des enfants en machines, qui vient refléter le vers 6. A partir de ce vers Hugo dénonce les conséquences que le travail exerce sur les enfants « jamais on ne joue » vient consolider cette idée. L’industrialisme empêche les enfants de faire ce que tout enfant sait faire de mieux : s’amuser. Aussi quelle pâleur ! La cendre est sur leur joue.Il fait à peine jour, ils sont déjà bien las.Lors des vers 12 et …afficher plus de contenu…

Il utilise des mots mélioratif « sain ; fécond ; généreux » pour montrer qu’il existe des travails, comme celui qu’il exerce, qui ne ralentissent pas forcément les progrès et l’évolution de la société. Il devient porte-parole de ceux qui exerce un travail vivifiant et non nuisible. Comme une