La xénophobie est un problème grave dans toutes les régions de l'Europe aujourd'hui. Partis de la droite extrême de la haine contre les migrants et les minorités sont représentées dans plusieurs parlements nationaux. . Dans certains pays, ils ont également influencé les politiques gouvernementales. Malheureusement, certains partis politiques d'autres se sont redéfinis afin de ne pas être débordé par les extrémistes - à l'effet que les positions xénophobes sont devenues plutôt «grand public ». Le résultat est persistance de la discrimination, les tensions inter-communautaires et la ségrégation.

Bien que les modèles de la xénophobie et l'intolérance continuent, il ya des rapports aussi de plus violent crimes haineux contre les migrants et les minorités. Le Bureau des institutions démocratiques et des droits de l'homme (BIDDH) a récemment présenté un aperçu des incidents motivés par la haine violente dans les pays de l'OSCE au cours de la première moitié de 2006 . Il s'agit notamment des crimes liés au racisme, l'antisémitisme, antitsiganisme, l'islamophobie et l'homophobie.

Noirs africains ont été poignardés ou battus à mort, les groupes de Roms victimes des graves foule; juifs physiquement agressés; des synagogues et des cimetières vandalisés. Les musulmans ont été agressés, et leurs mosquées et écoles islamiques endommagé

La portée exacte de la criminalité de haine en Europe aujourd'hui est difficile à évaluer car la plupart des gouvernements n'ont toujours pas mis en place un système efficace de collecte et d'organisation des données dans ce domaine. En outre, on peut supposer qu'un grand nombre d'infractions ne sont jamais signalés à la police. Toutefois, les données disponibles suggèrent que les crimes de haine continuent d'être alarmants répandue - et cela doit être pris en compte.

Les attaques physiques sur les personnes issues de groupes minoritaires sont souvent perpétrées dans les communautés où les extrémistes ont propagande haineuse Ce sont