C’est au milieu du XIXe siècle que suite a la guerre de sécession, la démocratie fera un des plus grands pas de son histoire alors que la majorité des états abolirent d’un mouvement commun l’esclavage, ce fessant ainsi la place des noirs dans l’histoire en sera changer à jamais. Au même moment, loin des conflits armés les arts et la littérature européenne changeaient aussi à leur manière. La présence de plus en plus imposante du courant réaliste apporta pour sa part une révolution bien propre à celui-ci. À l’arriver de ce courant la femme prix une tout autre dimension dans la littérature, n’étant plus relégué a des rôles de soutiens les femmes se retrouvent au cœur des récits de ce courant littéraire. C’est ainsi qu’au milieu de ce siècle Gustave Flaubert et Émile Zola mettent tous deux en vedette des femmes au cœur de couple dans les extraits la nuit de noces de Zola en 1867 et j’ai un amant! un amant! de Flaubert en 1867. Ces deux couples ont une façon bien différente de vivre leur amour, ce qui a une forte influence sur la passion présente dans ces amours. Les deux auteurs présentent tout d’abord des couples bien différents. Malgré que ces deux unions aient été à la base des liaisons adultères, les couples présentés par Zola et Flaubert diffèrent par la façon dont ceux-ci vivent leurs amours. En effet, le couple présenté par Gustave Flaubert entre Thérèse et Laurent qui jadis avait été des amants fougue a dépassé le stade de l’adultère suite au complot pour tuer le mari de Thérèse. « Il suffisait de se marier » la force de leur sentiment est bien démontrée puisque, malgré que le geste soit condamnable, ils ne se génèrent pas pour tuer afin de vivre au grand jour leur passion chaque moment de leur vie. À l’opposé, le couple d’amants présenté par Émile Zola vit leur relation que sur un plan très subjectif alors qu’ils ne sont qu’au balbutiement de cette relation extraconjugale. « Citation » on comprend que l’amour que porte Rodolphe pour Emma rend cette