L'afrique et la croissance
L’Afrique connait ces temps-ci un processus de peuplement intensif qui sans doute provoquera la croissance économique et le développement des marchés intérieurs. Le facteur démographique s’ajoute avec les facteurs conjoncturels, par exemple la hausse des prix de la matière première, et les facteurs liés aux politiques économiques, tout cela permettant une capacité d’investissement public basé sur les infrastructures. Tous ces facteurs sont fragiles et réversibles, causant des conflictualités pouvant mener à la régression et nécessitant de ce fait une surveillance accrue.
L’Afrique commence à être une destination d’investissement dans tous les domaines pour les chinois et les communautés endogènes (indienne, libanaise, …). Cela est dû au sérieux et aux garanties que présentent certains pays. Ces pays sont en effet inscrits dans une dynamique de croissance assez solide même s’ils gardent une certaine vulnérabilité face aux problèmes écologique et sociaux.
Les pays d’Afrique ne suivent pas un modèle de croissance bien définis car chaque pays à ses caractéristiques propres qui diffèrent d’un pays à l’autre. Plusieurs points sont cependant essentiels pour que la croissance de ses pays soit assurée : la stabilité politique, un bon contrôle des finances publique et des paramètres macroéconomiques fondamentaux. La croissance des pays d’Afrique a majoritairement été constatée par les investissements des gouvernements sur le plan des infrastructures et l’augmentation des taux d’épargne et d’investissement.
L’Afrique, comme tous les continents, est touchée par le phénomène du réchauffement climatique, ce qui peut avoir des conséquences sur la croissance des pays africain, essentiellement les plus pauvres entre eux. Cela peut se traduire par la nécessité de ces pays à investir pour lutter contre les problèmes générés par ce phénomène comme la désertification (, autres phénomènes) ou la submersion par la montée des eaux.
Le continent