L'histoire se veut une science
L’HISTOIRE SE VEUT UNE SCIENCE
(SECONDE MOITIE DU XIX SIECLE)
L’école méthodique s’inspire des pratiques du positivisme. Cette « école » domine l’historiographie à partir des années 1870 et son expansion est favorisée par les progrès de la science. Cependant de 1860 à 1875 un petit groupe d’historien H.Taine, Renan et Fustel de Coulanges ont été très critiqué. → l’historiographie les réhabilite aujourd’hui
I. Les remises en cause de l’histoire romantique
Auguste Comte (1798-1827)
→ influence de la philosophie positiviste
→ entre 1830-1842 Auguste Comte publie son cours de philosophie positive (c’était un secrétaire de Saint-Simon)
Le positivisme
→ qui s'appuie sur des faits = ce sur quoi on peut compter, ce qui est constant
→ s'intéresse à des faits à posteriori
→ dit par opposition à ce qui émane de l’imagination, de l’idéal
→ par opposition à la philosophie théorique ou métaphysique
C'est un concept qui exige que toute science s'intéresse à des faits
Influence des autres sciences; plein engouement pour les sciences, rupture épistémologiques
→ Darwin (1809-1882) = père de la méthode expérimentale
→ Bertelot = père de la chimie organique
→ ces gens là se côtoient et ont influencé les historiens
A. Comte a une vision téléologique de l’histoire. L’humanité est en marche vers le progrès, elle passe par 3 stades: téléologique (fictif) métaphysique (abstrait) scientifique (réaliste et progrès)
Dans Universalis :
Le positivisme est un concept qui caractérise une attitude qui érige que tout sciences partent de faits observables. Ce concept va séduire les historiens, il est proche de l’école de Von Ranke. À cette époque, c’est la mode de la biologie et de la chimie, c’est 2 matières sont en train de connaitre de gros changements épistémologiques. Époque de Darwin (1809-1882) avec la mise en avant de l’évolution de l’espèce provoque une rupture épistémologique et un choc.
Claude Bernard met au point la méthode