L'inconscient
Introduction :
ADJECTIF : ce qui est dépourvu de conscience. * Nos organes * Dimension morale : sans remord, folie furieuse. * Perte de conscience.
SUBSTANTIF : l’inconscient désigne une réalité psychique de même manière que la conscience. L’inconscient est alors d’esprit parallèle, de second « moi » : ce qui est en nous sans que nous le sachions ?
Problème : * Question de son existence : l’inconscient existe-t-il? * Question de définition : il existe un paradoxe. Une définition est précédée ou suivie de connaissances exactes. Or si nous arrivons à définir complètement l’inconscience, il serait alors une connaissance et du même coup conscient. * Quel est son rôle, son lien avec la liberté ? Divise-t-il l’unité de la conscience posé par Descartes et reprise par Kant ?
L’inconscient touche plusieurs domaines : * L’histoire * La liberté * La culture * Les passions, le désir * Le devoir, le bonheur * Le langage.
I – L’inconscient dans la philosophie classique et moderne : A – Leibniz
Problème des seuils de la perception : le continu et le discontinu.
Il faut bien que nous soyons sensibles un peu au discontinu non perçu, pour être sensible (conscient) à la perception continue. Ex : bruit de la mer.
B – Le romantisme L’inconscient est une force à l’intérieure de la nature. Cette force s’appel chez les animaux : instinct.
Pour l’homme l’inconscient se traduit par l’instinct de conservation qui connait deux formes majeures : * se prémunir de la douleur. * se reproduire : la nature est finalisée.
II – L’inconscient avec Freud : Deux méthodes pour faire naitre la psychanalyse : * L’hypnose (sommeil artificiel) * Les associations libres.
La clé de la naissance de la psychanalyse c’est l’hystérie : avec celle-ci Freud met à jour l’idée de maladie psychosomatique (origine psychique et manifestation corporelle)
Dans Les 5 leçons sur la psychanalyse il nous