Résumé L’existentialisme est un humanisme Mickael Deschênes Le premier principe de l'existentialisme, est que l'existence précède l'essence. Cela signifie que l'homme existe d'abord, se rencontre, surgit dans le monde, et qu'il se définit après. L'homme est seulement tel qu'il se veut et non tel qu'il se conçoit. L'homme n'est rien d'autre que ce qu'il se fait. On peut appeler sa aussi la subjectivité. On veut dire par là que l'homme a une plus grande importance qu'une chaise ou qu'une roche. Il peut adhérer à un parti, se marier, avoir des enfants, tout cela n'est qu'un choix dont il doit faire. Alors la première démarche de l'existentialisme est de mettre l'homme en possession de ce qu'il est et de faire reposer sur lui la responsabilité totale. Mais lorsque nous parlons de l'homme qu'il est responsable de lui-même, cela ne veut pas dire qu'il est responsable de sa stricte individualité, mais plus qu'il est responsable de tout le monde. L'existentialisme déclare que l'homme est angoisse. Peut importe ce que l'homme fait ou tout simplement si il entend des voix, qui lui dit de tuer son fils, ou de manger une pomme. Il s'agit d'une angoisse simple, que tous ceux qui ont eu des responsabilités d'une attaque et envoie un certains nombre d'homme à la mort, il choisit de le faire par eux-mêmes et seul. Les valeurs sont vagues, ils sont toujours trop vastes pour le cas précis et concret que nous considérons, il ne nous reste qu'à nous fier à nos instincts. Même si on dit quelques choses, comme par exemple: que j'aime mon frère au point que j'y passerais de l'argent n'importe quand. Mais avec cela je ne peux déterminer la valeur de cette affection que si, précisément, j'ai fait un acte qui l'entérine et qui la définit. C'est tout simplement l'action qui donne un sens, une valeur aux choses ou aux êtres, c'est pour l'engagement qu'une valeur est donnée. Le point de départ de l’existentialisme est que si Dieu n’existait pas, tout serait permis.