La métamorphose de l’homme en animal est un mythe qui est très répandu dans le monde. Cela sert surtout à comparer l’homme aux caractéristiques associées à l’animal en lequel il se transforme, ce qui permet de porter une réflexion sur la nature humaine. Dans Truismes de Marie Darrieussecq (publié en 1996) il s’agit d’une femme qui se métamorphose en truie et c’est la condition de la femme que l’on questionne. Dans La métamorphose de Franz Kafka (1883-1924), publiée en 1912, c’est plutôt un jugement sur la bourgeoisie et le milieu familial.

D’une part, Gregor vie une souffrance physique à travers son handicap. On en a pour preuve lorsqu’il dit qu’il « voyait de plus en plus flou » (p.35) Cela se résulte, aussi, à travers tous ses efforts malencontreux, depuis sa métamorphose. Son nouveau corps d’insecte lui demande, un « effort considérable que lui coûtait le déplacement d’une chaise jusqu’à la fenêtre » (p.35). L’utilisation de l’adjectif « considérable » (p.35), mais en avant plan l’intensité de la difficulté qu’éprouve Gregor. « il lui fallut quatre heures de travail- de transporter sur son dos jusqu’au canapé le drap de son lit. ». Par exemple, lui demande Puis, , ce qui souffrance
De plus, il vit de la violence de la part de son père. En effet, l’utilisation de la métaphore «bombarder» (p.44) rend l’acte encore plus violent du père qui envoie plusieurs projectiles de pommes sur Gregor. Cela démontre à quel point le père devient une figure menaçante et qu’il est prêt a tout pour atteindre sa cible. Il est évident de constater la souffrance du protagoniste lorsqu’il dit ressentir une « surprenante et incroyable douleur » suite à un morceau de pomme qui lui a été « littéralement » (p.44) enfoncé dans le dos.

Ses sentiments humains,
N’a perdu aucun sentiment humain