Écriture d'invention: le conte philosophique
Il se mit donc en route.
Son voyage fut long et merveilleux, il traversa les contrées les plus enchanteresses possibles ; il traversa des montagnes, des déserts et bien d’autres paysages qu’il ne soupçonnait même pas d’exister. Il fut accompagné par son fidèle valet de chambre fidelio, il était le plus admiratif des valets que l’on pouvait rencontrer dans le royaume. En effet il voulait le plus qu’il le pouvait ressembler à son maitre. C’est ainsi que durant cent-trois jours ce prince et son valet voyagèrent à travers l’inconnu. Un jour alors qu’ils étaient en train d’admirer le paysage, le prince demanda à fidelio si la princesse était vraiment si exceptionnelle que cela. Le fidèle valet, ayant déjà entendu quelques médisances sur cette princesse, décida qu’il ne fallait guère en dire plus à son maitre ; de peur de le vexer. Le prince effectivement, fut fort déçu de ne pas plus en apprendre sur cette princesse avec qui il passera sa vie. Car même si l’on dit qu’elle est douce il se pourrait qu’en réalité elle soit bien rude. Peut-être qu’elle ne m’aimera pas, peut être que je n’arriverais pas à l’aimer ! Oh mon dieu faites que je sache la chérir et l’aimer comme il se doit. Ainsi donc après encore des jours de voyage ils arrivèrent enfin à la porte du royaume de … . Quels magnifiques décors ils aperçurent dans cette magnifique contrée où tous les gens semblaient heureux de vivre. Le prince et son valet furent forts surpris de voir tant de personnes se promener avec un air si jovial.
Pendant ce temps dans le plus beau des royaumes du Nord la princesse de …. regardait par la