Évaluation clinique
Pourquoi supposons-nous qu’il y a une dimension qui n’est pas seulement cognitive lorsque nous réfléchissons ?
La plupart des échecs scolaires n’ont rien à voir avec les capacités intellectuelles, on en retire les personnes ayant des troubles cognitifs spécifiques.
Mais hormis cela la plupart se situe dans la moyenne. Il y a des modifications de la dynamique intellectuelle en fonction de leur histoire. Des enfants jusqu’à la grande section apprennent sans problèmes et ensuite après une séparation parentale très conflictuelle sur cela donne lieu à des problèmes d’apprentissages lors de l’entrée au CP même sans l’apparition de troubles cognitifs. La dyslexie est mise de côté car c’est un trouble cérébral.
Dans le cas où nous mettons en lien les activités mentales, la vie psycho-affective, il y a influence sur la capacité de pensée.
La modification ou la progression des capacités intellectuelles après une psychothérapie peut être observé. Le soin psychique a donc des capacités sur les capacités intellectuelles. L’enfant se sert à ce moment-là son potentiel ou ne s’en serait pas ou très peu. Il n’y a pas d’augmentation de l’intelligence mais juste une