17e Siècle Classique

un mouvement culturel et artistique qui se développe en France et en Europe, entre le 17e et le 18e. Il se définit par un ensemble de valeurs et de critères qui représente l’idéal et qui développent une esthétique fondée sur la perfection. Ce mouvement concerne beaucoup de domaines artistiques comme la peinture, la sculpture ou la littérature. C’est ainsi que l’on peut se demander en quoi les œuvres classiques expriment-elles la rigueur de la monarchie absolue ? La monarchie Définition La

Le mouvement classique au 17e siècle est très encadré par les académies créées par le roi. En réaction contre ce mouvement, les artistes font des œuvres plus personnelles et qui vont à l’encontre de ce qui est enseigné dans ces académies. Plus tard, cela donne place au courant romantique. Caspar David Friedrich est un de ces artistes les plus reconnus, avec sa toile Voyageur contemplant une mer de nuages. Le contexte sociohistorique, les caractéristiques du mouvement artistique, la vie de cet artiste

FICHE FRANÇAIS Séquence I : La poésie Parcs, jardins et vergers au 17e siècle. Les Amours de Psyché et Cupidon. → Les intentions du poète Une caractéristique du baroque : l’ornementation I) Une description baroque La Fontaine fait une description de la grotte de Thétis. Cette description d’une grotte baroque permet alors à La fontaine de se découvrir en temps que poète. • Description très détaillée : Détails sur les lieux, les couleurs, les matières… • Champ lexical du regard

Le romantisme Le romantisme est un mouvement littéraire et culturel européen et qui concerne tous les arts, il est apparu en France à la première moitié du 19è siècle. Il s’oppose à la tradition classique et au rationalisme des Lumières. Il vise une libération de la langue et de l’imagination ; le poète romantique laisse libre cours à son imagination. Le romantisme privilégie notamment l’expression du « Moi » et les thèmes de l’amour et de la nature mais aussi de nombreux thèmes comme la mélancolie

Romantisme : Forme : sonnet, octosyllabe mais pas régulier Fond : culte du moi -> narcissisme Exaltation des sentiments -> tristesse / souffrance car on a fait espérer beaucoup de choses aux jeunes riches qui après ont été très tristes. SPLEEN : mal du siècle, mélancolie x 10. Fuite->Mort. Ils ne voient plus que le négatif. Nature : prédilection avec l’automne, lieu où ils vont pouvoir se réfugier, en contact avec la nature. 2 : Le Symbolisme : Règles et syntaxes niées, on se libère de toutes contraintes

Histoire des courants littéraires Siècle -500/400 Période Antiquité Contexte politique scientifi que, culturel, … Dominance de la Rome et la Grèce Antique. è Dieu à qui il faut vouer un culte certain ! 400/145 3 Moyen Âge Enchainement de dynastie de Rois (Mérovingiens Clovis, carolingiens – Charlemagne, Capétiens, Valois,…) Période obscure, où l’Eglise est surpuissante, mais où l’on croit à la magie, à l’au-delà, aux sorcières… Date de fin : è 1453, chute

Princesse de Clèves Madame de Lafayette, 1678 La Princesse de Clèves fut publié en mai 1678 sans nom d’auteur car au 17e siècle être en temps que femme n’est pas reconnu. Il fut attribué à Madame de Lafayette mais il s’agit plutôt d’une œuvre collective. On lui attribue son nom près d’un siècle après. L’action se passe à la Renaissance (fin 15e siècle  1598, édit de Nantes) et à la cour du roi Henri II. Madame de Clèves est élevé par sa mère et va être marié à un homme qu’elle n’aime

intellectuel de la Renaissance, des arts, des sciences et de la pensée. Ce mot servait à exprimer la pensée selon laquelle l’Homme se distingue et se caractérise par sa culture et sa douceur. Ce mouvement apparaît très tôt en Italie, dès la fin du 13e siècle, les textes de l’Antiquité servaient de modèles de sagesse et de formation des Hommes. Selon cette vision des talents et des intérêts diversifiés, Leonardo da Vinci représente l’humaniste par excellence puisqu’il s’est intéressé aux arts, aux sciences

Harry A. Miskimin Le problème de l'argent au Moyen Âge In: Annales. Économies, Sociétés, Civilisations. 17e année, N. 6, 1962. pp. 1125-1130. Citer ce document / Cite this document : Miskimin Harry A. Le problème de l'argent au Moyen Âge. In: Annales. Économies, Sociétés, Civilisations. 17e année, N. 6, 1962. pp. 1125-1130. doi : 10.3406/ahess.1962.420922 http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/ahess_0395-2649_1962_num_17_6_420922 DÉBATS ET COMBATS Le problème au

16e siècle, d’expliquer, voire de justifier les échanges internationaux. L’apport des théories du commerce international au développement des ces échanges est indéniable. Les mercantilistes : Il n’existe pas, à proprement parler, de courant de pensée mercantiliste. On regroupe sous ce vocable des analyses qui ont tenté de conjuguer enrichissement des marchands et puissance politique de l’Etat. Si l’on se réfère aux politiques mises en oevre par les différentes nations au cours des 16e et 17e siècle