17eme La Société Paysanne

nous, ce n’est pas les gens du 17ème ou 18ème siècle. La réponse est dans cette fausse vieille façon de penser : il y a eu un moyen âge archaïque et c’est pourquoi lorsqu’on sort du Moyen-âge (obscurantisme, le médiéval) c’est pour être moderne (Rationalisme, esprit scientifique, modernisme…). L’époque moderne pour la France c’est : * La Renaissance (16ème siècle). La Renaissance était en marche depuis le 14ème siècle notamment en Italie. * Le Grand siècle (17ème siècle) * Les Lumières (18ème

Croissance économique et société industrielle La révolution industrielle a entrainé un développement spectaculaire de l'industrie, qui a engendré une grande croissance économique. Les développements du machinisme, d’une classe ouvrière, de nouvelles idéologies et l’apparition de changements spatiaux sont des conséquences de la révolution industrielle. 1 – Une forte croissance démographique A partir du 17ème siècle la croissance démographique augmente : Avec la diminution des famines

droit Introduction: Lorsque l’on parle d’Ancien Régime c’est la période qui va du 16 au 18ème siècle. Cette période a vu petit à petit progressivement l’Etat s’absolutiser, émergence de l’absolutisme. Le roi reprend du pouvoir. En ce qui concerne la société de l’Ancien Régime, elle est coutumière, corporatiste, hiérarchisé et catholique. A l’époque la France est coupé en deux .Il y a dans le nord de la France( la rochelle Genève droit écrit) 950 coutumes. Ce sont des règles qui règlent des rapports entres

considérer que le paraitre est le résultat du travail des apparences. Un ensemble de signes corporels mais aussi matériels, vestimentaires mais pas seulement, qui sont perceptibles essentiellement par la vue. Il y a un effort particulier produit dans les sociétés occidentales autour du paraître. Les apparences participent des efforts produits par les individus pour la présentation de soi. C'est une problématique éminemment sociale, une forme de communication non verbale. Le paraitre et les apparences sont

de comédiens connaît des débuts difficiles. En 1658 il joue « le docteur amoureux » devant le roi louis 14 et gagne sa protection. En 1662, il épouse Armande Béjart, sœur de son ancienne amante. Molière écrit des pièces mi-farce, mi-critique de la société et garde le soutient du roi. Certaines de ses œuvres sont néanmoins pointées du doigt pour leur hypocrisie religieuse. Don Juan le hisse au rang du plus grand artiste de son époque. Il meurt sur scène. Il échappe de justesse à la fosse commune sur

artiste »(fin p705). Enfin, l’historien soulève le problème de son article « à partir de quand cet usage, à l’origine empirique et circonstanciel, est devenu général et systématique »(fin p 705- début p706) ? Le vert des peintres : L'auteur nous dit qu'au 17ème, Isaac Newton propose un nouveau spectre de couleur, celui des lumières, où le vert est entre le jaune et le bleue (Rouge Orange Jaune Vert Bleu Violet). Ce spectre et ce placement du vert était alors inconnu et le spectre le plus fréquent était celui

fables à développer des défauts. Les fables représentent pour Rousseau tout se qu'il ne faut pas faire. «Si quelqu'une de vous touche à la quatrième Je l'étranglerai tout d'abord» Celle-ci est la morale de La Génisse, La chèvre et la Brebis en société avec le lion. Cette morale montre l'avarice en effet, le lion ne veut pas partager car qu'il est le roi des animaux il est le plus fort et doit en avoir plus que les autres. Pour Rousseau, les enfants s'identifient aux animaux or certains on des

ballets, de spectacles. Pour contribuer, il alloue des pensions à de nombreux artistes comme Molière et Lully et crée des Académies, il fit construire de somptueux batîments ( => Versailles ). 2. Le tiers état représente le peuple ( artisans, paysans, bourgeois.. ) Cette partie de la population n'a le droit à aucun privilège et ne pèse aucun poids politique. La noblessse ( = aristocratie ) et le clergé ne représente qu'une petite partie de la population cependant ce sont ces "ordres" qui sont

Souche) ainsi que son double domicile (le sien propre, et celui où il enferme Agnès), ce qui entretient jusqu’au bout la méprise de son rival étourdi qui le met dans la confidence de ses amours. L’intrigue : Arnolphe s’est fait le tuteur d’une petite paysanne, que sa mère, pressée par la nécessité, lui a abandonnée alors qu’elle avait quatre ans. L’enfant a été élevée dans un couvent, à l’écart du monde, selon les principes de son tuteur visant à « la rendre idiote autant qu’il se pourrait ». Cette éducation

scène de Mario Gonzalez Critique de Luce Zurita« Georges Dandin », « notre gendre », « le mari » ; tous, y compris Dandin lui-même, imposent un rôle à ce personnage éponyme qui est forcé de s’unifier sous le masque du mari trompé, de la victime d’une société sclérosée. La force comique du texte de Molière laisse transparaître la profonde cruauté qui régit cet espace concentrique, spirale sociale et donc théâtrale. Certes il faut en rire, mais d’un rire cathartique. Quel merveilleux carnaval alors, que