1ere Guerre Mondiale Brutalisation

Troisième Partie : Guerres, démocraties et totalitarismes : 1914-1945 « Je fais la guerre. Je fais la guerre tout le temps et par tous les moyens. Et je ferai la guerre jusqu’au dernier quart d’heure, car nous aurons ainsi la victoire. » Par ces mots, Georges Clemenceau indique son unique vision de la Première Guerre mondiale : seule la victoire contre l’ennemi est possible, seule la fin de la guerre importe et tout doit être mis en œuvre pour gagner. Comme une réponse à ce discours, le 6 août

1896-1929 : Croissance  1929-1939 : Dépression b) Analyse des périodes 1851-1873 : 1873-1896 : 1896-1929 : 1929-1939 : Croissance Dépression Croissance Dépression - Boom industriel - Surproduction - Développement de - Krach de Wall Street - Fruits de la 1ère Révolution - Concurrence des produits l’automobile, chimie, - Surproduction industrielle américains aviation (2ème - Faillites des banques - Augmentation de la consommation - Crise en phylloxera révolution - Faillites des - Augmentation de la population

différenciation entre les théories de Marx et Engels des ceux qui se sont réclamés du marxisme. I) Marx et Engels Un concept : la « dictature du prolétariat ». La dictature est une idée qui remonte à Rome : il fallait des circonstances exceptionnelles type guerre. La république romaine prévoyait, dès lors que les institutions risquaient d’être détruites, un dictateur. Mais elle précise deux éléments : * Les pouvoirs sont limités verticalement : les pouvoirs sont certes exorbitants mais il ne peut toucher

moyen légitime au cours de l'Histoire. Autrefois, l'Église a usé de la violence pouvait faire appliquer/ respecter son ordre religieux, et des groupements au Moyen-Age portaient des armes, notamment les nobles qui étaient les seuls à pouvoir faire la guerre à cette époque, ils représentaient la noblesse d'épée. Dans sa revendication au monopole, l'Etat a réussi à faire quelque chose/ à réaliser un monopole là où de nombreuses autres institutions ont échoué: il y a eu « expropriation de tous les groupements

politologues américains (Carl Friedrich, Le totalitarisme, 1953) et français (Raymond Aron, Démocratie et totalitarisme, 1965). Ce concept a depuis été utilisé par de nombreux analystes, notamment historiens, ainsi que dans le discours politique (durant la guerre froide, les responsables américains ne cessent de qualifier l’URSS d’État totalitaire). Il a servi aussi à qualifier d’autres régimes politiques. ● Comment définir un régime totalitaire ? On peut dire qu’il s’agit d’un régime qui exige une soumission

dans la pratique et dans la tête des individus ( ex : Jeanne D'Arc). Au MA, différents groupements disposaient du droit de porter des armes et la noblesse se caractérisaient par le fait qu'ils disposaient du pouvoir de porter les armes et de faire la guerre (noblesse d'épée). Dans sa revendication du monopole, L'Etat a réussi à faire quelque chose qu'aucun autre groupe n'a réussi a faire, c'est-à-dire à instituer un monopole ( = exproprier tous les groupements et toutes les entreprises institutionnelles

connaissances qui sera à la base de la Renaissance.  « Découverte » de l’Amérique (1492)  L’océan n’est plus considéré comme une frontière mais comme une voie de commerce, de communication.  L’histoire européenne devient une histoire mondiale.  L’histoire du monde racontée par la Bible en prend un coup.  Réforme protestante (1517) (Martin Luther est en désaccord avec l’Eglise et affiche ses 95 thèses sur la porte de l’église de Wittenberg)  Rupture dans l’unité chrétienne

Histoire Contemporaine Cour 1 : Le long XIXe siècle : 1789-1914 : de la révolution française à la grande guerre 1. Le siècle révolutionnaire 2.1. Histoire moderne Histoire contemporaine 2.2.1. Des périodisations dans l’histoire 2.2.2. Périodisation et rupture La modernité de 1492 : rupture épistémologique (révolution de l’accès au savoir), changement économique, rupture avec le système féodal, apparition des villes et des bourgeois, indépendants des seigneurs, cependant

ouvrier II. Impérialisme, colonialisme, militarisme De 1914 à 1933 : Première guerre mondiale : matrice du XXème siècle III. La Première Guerre mondiale IV. Octobre russe, communismes et révolution mondiale V. Fascismes (Italie, Allemagne) De 1934 à 1948 : Fascismes et antifascismes VI. Totalitarismes (Italie, Allemagne, URSS) VII. Luttes sociales et nouvelles alliances de classe VIII. Deuxième Guerre mondiale et génocide IX. Les résistances De 1889 à 1914, vers la catastrophe ? I. Deuxième

avec le passé et considère la guerre comme événement déclencheur. Le XXème siècle est la modernité incarnée et marque une différence avec le passé. Il ne doit pas s’inspirer de Cicéron mais il doit faire ici et maintenant. Son manifeste exalte le progrès, la virilité des hommes et de la violence. On tirera de ce manifeste des motifs à la guerre, notamment Papini qui dira que « sans la guerre on n’avance pas ». Il est contre la démocratie bourgeoise en faisant la guerre avec des gens triés sur le volet